L'absence de parité même dans le verdict qui pourtant devrait être lié à l'incertitude de cette affaire mais toujours la certitude du même sort: « On a un tabou en France: une mère ne peut pas mettre fin aux jours de son enfant » (Me Grimaud, avocate de l'association E&P). En effet 5 ans contre 20 ans pour les mêmes griefs: un rapport de 1/4 ou 4 coups de massues contre un seul.
Une pensée émue pour Fiona et le "bagnard" Nicolas Chafoulais qui avait été privé sans arguments compréhensibles de sa fille qui serait sûrement vivante si le vrai procès des se(r)vices sociaux ne l'avait pas privé dans les conditions inadmissibles du climat avéré antérieurement de ce couple recomposé. Couple pour garder cette vérité institutionnelle qui a sauté aux yeux des "bagnards" dont il semble qu'il ne s'en est pas parlé a été sûrement "aménagé". Nous verrons si il y a des "appels" pour connaître mieux la vérité qui sortira du pot un jour.
Des aveux de non violence mais alors quoi d'autres? Pourquoi ne sait-on pas où est le corps de l'enfant? Cette mère tout comme le compagnon ne veulent-ils pas de digne sépulture? ou cachent-ils quelque chose de plus horrible encore que ce cauchemar?
Cette affaire a émue beaucoup de bagnards qui ont ressenti dans leur coeur ce que c'est que d'être privé mais surtout incapable de protéger son enfant éloigné et qui se tourmentent dans l'incertitude surtout quand souvent il y a tant de critères qui appellent raisonnablement à perdre la raison. Ce cas n'est pas si rarissime que cela.