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Le maintien des relations des enfants du divorce ou de la séparation, avec leurs deux parents séparés ou divorcés, leurs grand-parents, leurs deux familles... pour l'égalité parentale et une co-parentalité responsable.

La communication dans les violences conjugales.

Réaction (en bleu par RCB) au site encyclopédique

en ligne WIKIPEDIA au terme: VIOLENCE CONJUGALE

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Violence_conjugale

 

[ --- beaucoup d'éléments concernant les sujets RCB sont à lire sur le site en question ---

--- emprunté partiellement pour ce sujet]:

 

"

§ Prévention des violences conjugales

 

Lutte contre les violences domestiques au Massachusetts

 

 

(DE RCB)

  • Mais l'incommunicabilité n'est pas toujours surmontable et les parties ne sont pas forcément "raisonnables".

 

Pour la prévention de toutes violences au sein du couple, les enfants étant souvent en question dans le conflit qui opposent les parents, une certaine prise de conscience et l'analyse de la réalité des séparations des couples avec enfants [par le Réseau Colin Bagnard], montre que les membres du couples ne portent pas tous la responsabilité de l'escalade du conflit.

 

Que justement les propos lénifiants sur la "communication" omnipotente qui s'érigent en dogmes des temps nouveaux ont peut-être fait plus de mal dans ce domaine que l'on pourrait croire. Le détail des mécanismes sociétaux qui sont en marche dans la non résolution des conflits et dans l'inaptitude de la société et ses multiples organites à traiter de vraies "médiations" montre que nous sommes ici confrontés à un problème scientifique concernant la validité de la psychologie. Ainsi, comment forcer une personne à "volontairement" admettre la nécessité d'une "médiation" si elle pense qu'elle aura toujours "raison"! Que peut faire le "partenaire" dans cette situation où le (la) premier (première) s'arqueboute?

 

La violence peut ainsi naître, non du manque de communication, mais du manque de solutions. Pas forcément du côté "machisé". La prévention consiste dans ces cas à anticiper et à montrer comment la violence prend le pas sur le dialogue;

 

mais rarement la prévention est effective avant les faits de violence. Dans ce cas, pas de finances sonnantes et trébuchantes en jeu, donc pas de "prévention". Seule sous forme de sanction, la médiation ou la procédure judiciaire interviendra après, trop tard, et sans forcément identifier les éléments de la réalité psychologique, médicale ou judiciaire.

 

(Pour mieux comprendre ce point de vue, voyagez dans ce blog associatif...)

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M
<br /> Venez raconter votre Vérité sur : http://www.maveritesur.com/<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> N’’hésitez pas et venez faire entendre votre (vos) vérité(s) sur maveritesur.com.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br />
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R
<br /> <br /> Merci pour ce lien qui réunit quelques tounures de synthèse sur l'impact chez l'enfant des violences dans l'entourage. Ce serait intéessant d'avoir des exemples précis de cas.<br /> <br /> <br /> RCB s'est déjà exprimé sur les débats récents autour de la "violences faites aux femmes" -voir dans nos pages). Le problème qui se pose est le caractère non paritaire des analyses, qui se<br /> retrouve dans la synthèse édulcorée que vous proposez en lien. Dans le mécanisme de la non communication, sans parler des cas extrêmes de brutalité, c'est le fait, selon la théorie de la<br /> communication, de l'ensemble de la chaîne de la communication. On pourrait détailler les différents éléments qui interviennent pour illustrer le fait objectif que l'un des seuls éléments ne soit<br /> seul responsable.<br /> <br /> <br /> Le Dr Cyrulnik devrait être plus souvent suivi dans la portée de ces conclusions, qui bien souvent ne sont prise que dans le seul sens "antimasculiliste" alors que son point de vue est plus<br /> globalisant, notammnt pour les conséquences sur les enfants, et sur le long terme.<br /> <br /> <br /> Quant aux études statistiques, nous nous sommes aussi exprimés dans le sens de prendre en considération de nombreux oute quant à la neutralité de ces études tant diffusées. C'est vrais qu'il y a<br /> des sources pour le Canada, les USA ou d'autres pays comme en Scandinavie qui sont mieux étayées qu'en France. Pour l'Amérique nu Nord, le contexte souvent plus violent est un élément aussi à<br /> mettre dans les comparaisons. Nos sociétés ne sont pas strictement identiques. L'argument souvent avancé comme quoi au Canada par exemple la situation statistique sur les violences (au sens<br /> "masculines") serait encore agravante pour la situation européenne ou française est à prendre avec des pincettes. Cet éléments participe encore de la même "popagande" si cette précaution<br /> n'est pas prise.<br /> <br /> <br /> Il faudra reprendre tous les éléments de l'impact chez l'enfant selon les cas sans tout confondre en un même cas, loin du continuum de la réalité des familles.<br /> <br /> <br /> <br />
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F
<br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Violences conjugales : les enfants trinquent aussi, en silence<br /> <br /> <br /> De Julie CHARPENTRAT (AFP) – 4 déc. 2009<br /> <br /> <br /> http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iW6FmA9VL4KGDxbmYWZ1Cxs1GASg<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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