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  • : Blog du Réseau Colin Bagnard pour les enfants du divorce
  • : Le maintien des relations des enfants du divorce ou de la séparation, avec leurs deux parents séparés ou divorcés, leurs grand-parents, leurs deux familles... pour l'égalité parentale et une co-parentalité responsable.
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16 juillet 2010 5 16 /07 /juillet /2010 18:05

Informations collectée à partir du site de ACALPA.org

http://www.acalpa.org/pdf/commentetpourquoi.pdf  

 

LE RAPT PARENTAL D’ENFANT

Un délit sanctionné par le code pénal

Une maltraitance psychologique

Comment et pourquoi porter plainte ?

 

 1. Rappel des textes de référence

CODE PÉNAL

Article 227-5

Le fait de refuser indûment de représenter un enfant mineur à la personne qui a

le droit de le réclamer est puni d'un an d'emprisonnement et de 15.000 euros

d'amende.

Article 227-6

Le fait, pour une personne qui transfère son domicile en un autre lieu, alors que

ses enfants résident habituellement chez elle, de ne pas notifier son changement

de domicile, dans un délai d'un mois à compter de ce changement, à ceux qui

peuvent exercer à l'égard des enfants un droit de visite ou d'hébergement en

vertu d'un jugement ou d'une convention judiciairement homologuée, est puni de

six mois d'emprisonnement et de 7.500 euros d'amende.

Article 227-7

Le fait, par tout ascendant légitime, naturel ou adoptif, de soustraire un enfant

mineur des mains de ceux qui exercent l'autorité parentale ou auxquels il a été

confié ou chez qui il a sa résidence habituelle, est puni d'un an

d'emprisonnement et de 100.000 F d'amende.

Article 227-8

Le fait, par une personne autre que celles mentionnées à l'article 227-7 de

soustraire, sans fraude ni violence, un enfant mineur des mains de ceux qui

exercent l'autorité parentale ou auxquels il a été confié ou chez qui il a sa

résidence habituelle, est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75.000 euros

d'amende.

ACALPA & Csmee - Comment et pourquoi porter plainte pour non représentation d’enfant, juin 2007.

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Article 227-9

Les faits définis par les articles 227-5 et 227-7 sont punis de trois ans

d'emprisonnement et de 45.000 euros d'amende :

1º Si l'enfant mineur est retenu au-delà de cinq jours sans que ceux qui ont le

droit de réclamer qu'il leur soit représenté sachent où il se trouve ;

2º Si l'enfant mineur est retenu indûment hors du territoire de la République.

Article 227-10

Si la personne coupable des faits définis par les articles 227-5 et 227-7 a été

déchue de l'autorité parentale, ces faits sont punis de trois ans

d'emprisonnement et de 45.000 euros d'amende.

Il convient de rappeler :

1 - qu’aux termes de l’article 15-3 du Code Procédure Pénale (CPP), la

police judiciaire (policiers et gendarmes) est obligée de recevoir les

plaintes déposées par les victimes d’infractions pénales et de les

transmettre au procureur de la République.

Ainsi, les pratiques de certains policiers ou gendarmes, consistant à

imposer le dépôt d’une main courante ou à exiger plusieurs mains

courantes avant de pouvoir déposer plainte ou à refuser d’enregistrer une

plainte, sont illégales.

2 – l’atteinte à l’autorité parentale peut exister avant même qu’une

décision de justice ne fixe la résidence de l’enfant chez l’un ou l’autre des

deux parents.

 

DEUX ARRETS DE LA CHAMBRE CRIMINELLE

DE LA COUR DE CASSATION du 13 mars 1996

Par deux arrêts différents, du 13 mars 1996, la chambre criminelle de la Cour de

Cassation a confirmé que l’article 227-5 du code pénal ne précise pas la nature du droit en vertu duquel l’enfant doit être représenté.

Vous pouvez donc porter plainte pour non représentation d’enfant même lorsqu’il n’y a pas de décision de justice fixant la résidence de l’enfant, car vous êtes titulaire de l’autorité parentale de par la loi (enfant légitime ou enfant naturel reconnu).

 

ARRET DE LA COUR D’APPEL DE PARIS du 2 mai 2000

La Cour d'appel de Paris, dans un arrêt rendu le 2 mai 2000, a reconnu que le

"délit de soustraction d'enfant est constitué sans qu'il y ait lieu de distinguer

selon que la victime tient ses droits sur la personne de l'enfant d'une décision de Justice, d'une convention judiciairement homologuée ou de la loi, que dès lors il n'est pas nécessaire que l'infraction soit commise en violation d'une décision de justice".

ACALPA & Csmee - Comment et pourquoi porter plainte pour non représentation d’enfant, juin 2007.

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2. Comment déclencher des poursuites devant le pénal ?

Pour que le juge pénal en l’occurrence le Tribunal correctionnel puisse être saisi,il faut que l’action publique ait été mise en mouvement.

La mise en mouvement est ouverte :

(1) au ministère public ;

(2) à la victime, qui dans le cadre du procès demande réparation du

dommage subi du fait des atteintes à l’autorité parentale.

 

2. 1 . Les poursuites engagées par le ministère public

Il faut que le procureur de la République soit informé de la commission d’une

infraction pour la poursuivre.

Cela passe par :

(A) le dépôt d’une plainte

(B) ou par un signalement directement auprès de lui.

Le Procureur dispose d’un pouvoir d’appréciation (l’opportunité des poursuites)

des suites à donner aux atteintes à l’autorité parentale dénoncées.

 

A- Le dépôt de plainte

On peut déposer plainte dans n’importe quelle gendarmerie ou commissariat,

même éloigné/e du lieu de domicile.

Selon l’article 15-3 du Code Procédure Pénale (CPP), la police judiciaire (policiers et gendarmes) est obligée de recevoir les plaintes déposées par les victimes d’infractions pénales et de les transmettre au procureur de la République.

Ainsi, les pratiques de certains policiers ou gendarmes, consistant à imposer le dépôt d’une main courante ou à exiger plusieurs mains courantes avant de

pouvoir déposer plainte ou à refuser d’enregistrer une plainte,

 

ne sont pas

conformes à la loi.

Il faut donc insister sur le fait qu’un policier n’a absolument pas le droit de

refuser d’enregistrer la plainte

Attention, il faut bien distinguer entre :

- la main-courante : registre sur lequel la victime fait inscrire sa déposition, mais sans porter plainte. Cette déclaration peut être faite au commissariat de police ou à la gendarmerie.

- la plainte : démarche juridique qui permet de faire poursuivre l’auteur des faits en justice.

 

B- La plainte ou le signalement adressés directement au procureur de la

République

Il est également possible de saisir directement le procureur d’une plainte ou d’un signalement, en lui adressant

 

une lettre sur papier libre en courrier en

recommandé avec accusé de réception.

 

ACALPA & Csmee - Comment et pourquoi porter plainte pour non représentation d’enfant, juin 2007.

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Il s’agit du procureur près le Tribunal de Grande Instance du lieu de l'infraction

ou du domicile de l'auteur des violences.

 

La lettre doit préciser :

- l'état civil complet de la personne victime,

- le récit détaillé des faits, la date et le lieu de l'infraction de non représentation

ou se soustraction d’enfant.

- la description et l'estimation provisoire ou définitive du préjudice,

- les noms et adresses des éventuels témoins de cette infraction,

- les éléments de preuve à disposition (jugement fixant la résidence principale si elle existe déjà, certificats de scolarité de l’enfant prouvant sa résidence habituelle attestations de témoins)

 

2.2. La mise en mouvement de l’action publique par la victime

La victime peut introduire l’action civile devant le juge pénal avant que le

ministère public n’ait décidé la mise en mouvement de l’action publique ou s’il a refusé de le faire.

 

A- La plainte avec constitution de partie civile devant le juge d’instruction (article 85 CPP)

La personne peut adresser une lettre simple au juge d’instruction ou au doyen des juges d’instruction (s’il y a plusieurs juges d’instruction) du Tribunal de grande instance du lieu où l’infraction a été commise (si l’enfant n’est pas revenu à votre domicile après un droit de visite par exemeple) ou du domicile de l'auteur de l'infraction.

Avoir un avocat n’est pas obligatoire, mais il est recommandé d’en avoir un ou

d’être conseillée.

Cette plainte avec constitution de partie civile doit :

- manifester clairement la volonté de se porter partie civile (« je me constitue partie civile ») et réclamer des dommages et intérêts, pour préjudice matériel et moral.

- exposer les faits au juge (attention : le juge n’est saisi que des faits relatés, il faut donc ne pas être trop succinct ou lapidaire…),

- déclarer une adresse où seront notifiés les actes de procédure. L’adresse doit donc être viable.

Le juge d’instruction constate par ordonnance le dépôt de la plainte et fixe le

montant d’une consignation.

 

 

Vous devez consigner une certaine somme d’argent

qui vous sera indiquée par le Tribunal. Si vous êtes bénéficiaire de l’aide

juridictionnelle, vous êtes exonéré de cette consignation.

Le juge décide s’il instruit ou non. En cas de refus, il rend une ordonnance qui

sera communiquée à la personne. En cas d’acceptation, il y a donc instruction et

la procédure se poursuit. Cette procédure sera clôturée soit par une ordonnance

de non lieu, soit par une ordonnance de renvoi devant le Tribunal correctionnel.

ACALPA & Csmee - Comment et pourquoi porter plainte pour non représentation d’enfant, juin 2007.

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B- La citation directe devant le tribunal correctionnel

La partie civile peut faire délivrer une citation directe à l’auteur. Les faits doivent être simples et la personne doit disposer des éléments suffisants pour prouver la culpabilité de l'auteur et l'étendue du préjudice, sans enquête complémentaire.

La citation est un acte remis à l'auteur de l'infraction par un huissier de justice,rédigé en général par un avocat, et invitant cette personne à se présenter devant le tribunal compétent.

La citation doit comporter certaines mentions obligatoires prévues aux articles 550 et suivants du code de procédure pénale

(notamment les noms, prénoms, profession, domicile de la partie civile, ses griefs, la nature de l'infraction et les textes de loi qui la punissent, le lieu, l'heure et la date de l'audience ainsi qu’une évaluation du préjudice).

Le tribunal fixe la somme de la consignation à l’audience.

Il est recommandé d’être accompagné/e par un avocat dans cette démarche.

 

3. Que va faire le Procureur des plaintes et des signalements ?

Le procureur de la République dispose du pouvoir d’apprécier des suites

à donner aux plaintes et signalements dont il a été informé.

Il peut prendre 3 types de décisions :

(A) Ne pas poursuivre : le classement sans suite

(B) Recourir à une mesure alternative aux poursuites pénales

(C) Engager une poursuite : mise en mouvement de l’action publique.

 

A - La décision de ne pas poursuivre : le classement sans suite

Si l’auteur des faits est connu, le procureur de la République doit en principe

aviser la victime de sa décision de classer sans suite la procédure, en indiquant

les raisons juridiques ou d’opportunité de sa décision (article 40 CPP). En

pratique, il ne le fait pas toujours.

La victime peut former un recours hiérarchique devant le procureur général (il

s’agit du « chef » du parquet auprès d’une Cour d’appel ou de la Cour de

cassation) contre le classement sans suite (article 40-3 CPP).

Le procureur général peut enjoindre au procureur d’engager des poursuites ou

informer l’intéressé qu’il estime son recours infondé.

 

B - La décision de recourir à une mesure alternative aux poursuites

pénales

Le procureur décide de ces mesures s’il estime qu’elles sont susceptibles

d’assurer la réparation du dommage causé à la victime, de mettre fin au trouble

résultant de l’infraction ou de contribuer au reclassement de l’auteur.

La victime doit être informée du recours à ces mesures.

ACALPA & Csmee - Comment et pourquoi porter plainte pour non représentation d’enfant, juin 2007.

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Les mesures alternatives aux poursuites sont :

 

1 - la médiation pénale

(rappel à la loi, orientation vers une structure

sanitaire ou sociale, médiation entre l’auteur des faits et la victime,…),

 

2 - la composition pénale.

Il s’agit d’une procédure visant à proposer

l’exécution de mesures présentant le caractère d’une sanction à la

personne qui reconnaît avoir commis l’infraction qui doit être soit une

contravention soit un délit puni jusqu’à 5 ans d’emprisonnement (cas des

de la soustraction de mineurs hors du territoire français). Les mesures

pouvant être proposées en matière délictuelle sont notamment

l’engagement de ramener l’enfant à son lieu de résidence habituelle.

L’auteur de l’infraction doit donner son accord. La composition doit être

validée par un juge. Si l’auteur refuse ou n’exécute pas les mesures, le

procureur engage des poursuites.

 

C – Engagement de poursuite : mise en mouvement de l’action publique

En matière délictuelle , le procureur a le choix entre :

- saisir le juge d’instruction si l’affaire n’est pas en l’état d’être jugée,

- saisir le tribunal correctionnel. Il peut le faire selon différentes modalités.

 

L’auteur peut ainsi être convoqué à une audience ultérieure et des mesures

provisoires peuvent être ordonnées dans le cadre d’un contrôle judiciaire ou être déféré à l’issue de sa garde à vue (la comparution immédiate n’est donc possible que si l’auteur était placé en garde à vue).

- décider la comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité en cas de

délit punissable d’une amende ou/et d’un emprisonnement inférieure ou égale à cinq ans (sauf exceptions).

Une fois que le ministère public a mis en mouvement l’action publique, la victime peut, si elle le souhaite, se constituer partie civile afin de demander réparation du préjudice subi.

S’il y a instruction, elle peut le faire à tout moment en envoyant une simple lettre au juge d’instruction.

Devant les juridictions de jugement, elle peut le faire soit avant soit lors de

l’audience de jugement. Le plus simple est de se présenter au greffe du tribunal compétent (avec élection de domicile dans le ressort du tribunal compétent si elle n’y réside pas) avant l’audience.

Ou bien, elle peut se constituer partie civile lors de l’audience, quelle que soit la juridiction de jugement, en faisant une déclaration orale qui sera consignée par le greffier ou en déposant des conclusions.

La constitution de partie civile doit intervenir avant le réquisitoire du ministère public sur le fond.

 

La personne n’est pas obligée d’être assistée par un avocat.

ACALPA & Csmee - Comment et pourquoi porter plainte pour non représentation d’enfant, juin 2007.

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4. Conseils pratiques.

(A) Avant le dépôt de plainte au commissariat :

Lorsqu’une personne souhaite déposer plainte directement au commissariat, il

faut s’assurer qu’elle est en mesure de raconter oralement les faits. Il faut

éventuellement l’aider à préparer son récit, à lister les dates et les actes dont

elle doit absolument parler, voire l’accompagner au commissariat lorsque cela

est possible…

 

(B) Lors du dépôt de plainte :

Il faut informer la personne qu’il est important qu’elle demande à relire ou à

ce qu’on lui relise le contenu du procès-verbal avant de le signer. Elle doit

pouvoir y apporter toutes les modifications nécessaires afin que les faits

dénoncés soient fidèlement retranscrits.

 

Rappel : le refus de prendre une plainte n’est pas légal. En cas d’impossibilité de déposer plainte, il est possible d’écrire au procureur. Toutefois, le procureur demandera un complément d’enquête à la gendarmerie ou au commissariat (du lieu où a été commis le délit ? Du lieu de résidence de la personne victime ou de l’auteur de violence ?)

 

Signaler le refus d’enregistrement de la plainte (classement policier sous

forme de main courante) à l’Inspection Générale des Services de la Police

Nationale ou à la Délégation aux victimes au Ministère de l’Intérieur.

 

(C) Suivi de la plainte :

Si la personne est sans nouvelles de sa plainte au bout de quelques mois, il

convient de s'adresser au secrétariat-greffe du tribunal de grande instance

compétent, généralement celui dans le ressort duquel a été commise

l’infraction en précisant les références de la plainte.

 

(D) Aide aux victimes :

Il existe dans chaque département un correspondant de la délégation aux

victimes. Il peut être utile de joindre cette personne en cas de difficultés

rencontrées dans un commissariat lors du dépôt de plainte

(  cabdgpn.delegvictimes@interieur.gouv.fr)

 ou lorsque la personne est sans nouvelle de sa plainte y compris après s’être adressée au secrétariat-greffe du tribunal de grande instance compétent.

 

(E) Retirer la plainte :

Le retrait de la plainte est sans effet sur l’action publique qui se poursuit. Cela

signifie que si la personne victime décide de retirer sa plainte, l’auteur des

faits peut quand même être poursuivi par le ministère public.

ACALPA & Csmee - Comment et pourquoi porter plainte pour non représentation d’enfant, juin 2007.

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SELECTION DE QUELQUES ADRESSES UTILES EN CAS D’ENLÈVEMENT D’ENFANT

(INTERNATIONAL et NATIONAL)

*****

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

BUREAU DE L'ENTRAIDE CIVILE ET COMMERCIALE INTERNATIONALE

D.A.C.S. 13 place Vendôme 75042 PARIS

 

: 01 44 77 61 05 􀂬

: 01 44 77 61 22

*****

MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES

SERVICE DES ACCORDS DE RÉCIPROCITÉ

244 bd Saint-Germain 75007 PARIS

 

*****

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

OCRVP (Pour enfants non localisés)

101 rue des Trois Fontanots 92000 Nanterre

 

*****

SOS ENFANTS DISPARUS

116 000 du lundi au samedi de 9h00 à 21h00.

*****

 

en remerciement à ACALPA. (ACALPA.ORG)

voir sur: "SAP" ou Syndrome d'Aliénation Parentale ?

 

 

 

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16 juillet 2010 5 16 /07 /juillet /2010 17:38

 

Information tiée de : http://www.logeais-caroline.avocat.fr/droit-enfant.html

 

 

 

Le principe du droit de l'enfant

 

Il ressort de l' article 371-4 du Code civil :

" L'enfant a le droit d'entretenir des relations personnelles avec ses ascendants.

 

Seuls des motifs graves peuvent faire obstacle à ce droit. Si tel est l'intérêt de l'enfant, le juge aux affaires familiales fixe les modalités des relations entre l'enfant et un tiers, parents ou non ".

 

Ce qui signifie que les grands-parents ont le droit de correspondre avec leurs petits-enfants, de les voir, et d'exercer un droit de visite et d'hébergement.

 

L'intérêt supérieur de l'enfant prime dans la prise de décision du juge aux affaires familiales.

 

Les droits des grands-parents perdurent même dans le cas d'une séparation des parents, d'un divorce.

 

Il est important de rappeler que les grands-parents ne peuvent intervenir dans l'éducation donnée aux enfants par leurs propres parents.

 

En revanche, en cas de maltraitance des enfants par leurs parents, par exemple, le rôle des grands-parents est bien évidemment d'alerter les services compétents (le Procureur de la République, les services sociaux).

 

Dans certains cas exceptionnels, de par leur gravité notamment, la garde des petits-enfants peut être confiée aux grands-parents.

 

A l'inverse, il peut arriver qu'un droit de visite et d'hébergement soit refusé aux grands-parents notamment si ces derniers dénigrent les parents auprès des enfants, si leurs rapports avec leur petits-enfants sont mauvais et perturbent ces derniers, si les grands-parents sont inaptes à s'occuper de leurs petits-enfants.

 

 

 

La procédure pour l'enfant contribuant à faire exercer son droit

 

Dans l'hypothèse où les parents et grands-parents n'auraient pas prévu à l'amiable un droit de visite et d'hébergement, il faut donc s'adresser à un juge aux affaires familiales.

 

La demande peut être formulée par un avocat ou par les grands-parents seuls, car l'intervention de l'avocat n'est pas obligatoire dans ce type de procédure.

 

Cependant, l'intervention d'un avocat est conseillée surtout si les grands-parents s'exposent à un refus des parents qu'il leur soit accordé un droit de visite et d'hébergement.

 

Le travail de l'avocat consistera à saisir le juge aux affaires familiales par le biais d'une requête, à bâtir un dossier au soutien des demandes de ses clients, et de plaider ces demandes devant le juge aux affaires familiales.

 

 

 

Texte à rapprocher de: Le maintien du lien des petits-enfants avec les grands-parents

 

 

 

Merci à la publication en ligne de:

Maître Logeais - Avocat-
La Garenne-Colombes 92250

Téléphone : 01 47 82 56 85

 

 

http://www.logeais-caroline.avocat.fr/droit-enfant.html

 

Vous consulterez aussi: http://www.logeais-caroline.avocat.fr/autorite-parentale.html

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6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 09:07

Puisque beaucoup d'entre-nous ne pourront pas voir leurs enfants en raison

de la mauvaise volonté des une ou des uns,

en raison de fermeture des lieux médiatisés où vous voyez pour l'instant vos enfants;

en raison de jugement inaplicable,

en raison d'incompatibilité de calendrier pour des causes de travail,

de vacances ou maladie, ...

 

vous pouvez nourrir votre carence en réfléchissant sur :

 

la condition paternelle et maternelle au sens de la co-parentalité;

Parité - Droits de l'Homme - Droits des hommes - Droits des femmes - Droits de l'enfant

Lettre d'un enfant à ses parents séparés

Dessin spontané et invraissemblable d'une fillette meurtrie

 

la question de la sérénité entre les parents séparés:

contre-exemple à ne pas suivre: tout faire pour enfoncer son "ex"

La médiation familiale en question.

Les dégâts pécuniaires des divorcés: voir l'AFUB - Association des usagers de banques

Rappel sur le droit de visite et d'hébergement en cas de divorce

 

l'implication à la rentrée dans l'école, le collège ou le lycée de vos enfants;

Sur le droit de surveillance, à fortiori l'autorité parentale!

Autorité parentale et droit de surveillance: textes légaux

Les parents divorcés peuvent siéger aux conseils d'écoles, et Conseils d'administrations des collèges et lycées: présentez-vous!

Le serpent de mer du rythme scolaire: n'oublions pas nos enfants!

 

l'implication dans les Conseils de la Vie Sociale si vous êtes en relation avec une structure "lieux médiatisé" - "lieu neutre" - "espace rencontre".

(indirectement: Pourquoi "Réseau Colin Bagnard"? ... En résonance de Colin Maillard ! )

 

la question de l'implication des autres membres de la famille par des démarches séparées:

Le maintien du lien des petits-enfants avec les grands-parents

 

Quelques précautions:

Les sectes aussi détruisent les familles !

Alerte d'un membre soucieux des suicides "familiaux"

 

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21 juin 2010 1 21 /06 /juin /2010 14:11

 

 

Il est très important que les parents séparés ou divorcés puissent suivre la scolarité de leurs enfants. Avec l"autorité parentale" ou sans, il est toujours possible de connaître, au titre du "droit de surveillance" (en fait un "devoir" des parents), de connaître et suivre les activités scolaires, les résultats, les enseignants, les plannings, les activités (piscine, sports, arts plastiques, langues,...) des enfants... 
Élections des représentants des parents d'élèves (en France) (tiré du site : http://eduscol.education.fr)
Dans les écoles, les collèges, les lycées et les établissements régionaux d'enseignement adapté, les parents d'élèves élisent tous les ans certains d'entre eux pour les représenter dans les instances scolaires. Ces instances sont dans les écoles maternelles et élémentaires, le conseil d'école, et dans les établissements scolaires du second degré, le conseil d'administration.

Rôle des instances participatives d'un établissement scolaire

Les parents d'élèves élus au conseil d'école ou au conseil d'administration sont membres à part entière de ces instances participatives : ils ont voix délibérative.

Ils peuvent assurer un rôle de médiation, à la demande de tous parent d'élèves, auprès des autres membres de la communauté éducative.

Premier degré

Le conseil d'école est constitué pour une année scolaire. Il se réunit au moins une fois par trimestre et obligatoirement dans les quinze jours suivant la proclamation des résultats aux élections de représentants de parents d'élèves.

 

(RCB: il faut donc être présent pour ces élections, être informé ASSEZ TOT, dès la rentrée, s'en occuper, contacter les chefs d'établissement, constituer des listes pour ces élections, et être élu !!!) C'est la meilleure façon de pouvoir faire comprendre la situation des parents divorcés ou séparés, et de faire respecter les circulaires et la législation concernant l'autorité parentale et le droit de surveillance.

(voir: Sur le droit de surveillance, à fortiori l'autorité parentale!  et  Autorité parentale et droit de surveillance: textes légaux )

 

Le conseil d'école vote le règlement intérieur de l'école et adopte le projet d'école. Il donne son avis et fait des suggestions sur le fonctionnement de l'école et sur toutes questions qui intéressent la vie de l'école : intégration des enfants handicapés, activités périscolaires, restauration scolaire, hygiène scolaire, sécurité des enfants... et (rcb: donc aussi les questions de familles séparées). Il peut proposer un projet d'organisation du temps scolaire dérogatoire, soit la semaine de quatre jours et demi.

Second degré

Le conseil d'administration est l'organe délibérant de l'établssement public local d'enseignement. Il se réunit en séance ordinaire à l'initiative du chef d'établissement au moins trois fois par an.

 

Le conseil d'administration adopte le projet d'établissement, le budget et le règlement intérieur. Il donne son accord sur le programme de l'association sportive, sur les principes du dialogue avec les parents d'élèves. Il délibère sur les questions relatives à l'hygiène, la santé et la sécurité. Il donne son avis sur les principes de choix des manuels et outils pédagogiques, sur la création d'options et de sections, etc.

Modalités pratiques

Quand ont lieu les élections ?

Les élections des représentants de parents d'élèves sont organisées au plus tard avant la fin de la 7ème semaine de l'année scolaire. Deux dates sont fixées par décision ministérielle. Le jour du scrutin est choisi entre ces deux dates par la commission électorale dans le premier degré et par le chef d'établissement dans le second degré.

Qui peut voter ?

Chacun des deux parents est électeur, qu'ils soient mariés ou non, séparés ou divorcés, sous réserve de ne s'être pas vu retirer l'autorité parentale. (il reste dans ce cas tous ceux concernant le "droit de surveillance: Sur le droit de surveillance, à fortiori l'autorité parentale! )

 

Les personnels des établissements sont également électeurs, s'ils sont parents d'élèves scolarisés dans l'établissement où ils travaillent.

 

Chaque électeur ne dispose que d'une voix quel que soit le nombre de ses enfants inscrits dans le même établissement.

Qui est éligible ?

Tous les parents électeurs sont éligibles, à l'exception des personnels de l'établissement membres de droit du conseil d'administration et des personnes qui en sont déjà membres (désignées par un organisme ou élues au titre d'un autre collège électoral).

 

(RCB: Pour cela, monter une liste de parents d'élèves "parents séparés" par exemple,  liste"colin bagnard" si vous voulez...). Rencontrez les chefs d'établissements pour qu'ils prennent en compte vos demandes et qu'ils vous donnent toutes les informations nécessaires.

Quel est le mode de scrutin ?

L'élection a lieu au scrutin de liste à la représentation proportionnelle au plus fort reste. Chaque liste doit comporter au moins deux noms de candidat et, au plus, le double du nombre de sièges à pourvoir.

Combien y a-t-il de parents élus dans les écoles et les établissements ?

Dans le premier degré, il y a autant de représentants de parents d'élèves au conseil d'école que de classes dans l'école (environ 221 000 pour l'ensemble des écoles maternelles et élémentaires).

Dans le second degré, le nombre de parents élus dépend du type d'établissement et de sa taille. Les représentants des parents d'élèves sont 5 dans un lycée ou dans un établissement régional d'enseignement adapté, 6 dans un collège de moins de 600 élèves et 7 dans les autres collèges. Ils sont environ 48 000 au niveau national.

Textes de référence
Pour le premier degré

Circulaire n° 2000-082 du 9 juin 2000 modifiée

(en ligne sur http://eduscol.education.fr/cid48219/circulaire-n-2000-082-du-9-juin-2000.html)
relative aux modalités d'élection des représentants des parents d'élèves au conseil d'école

Pour le second degré

Circulaire du 30 août 1985 modifiée

(en ligne sur  http://eduscol.education.fr/cid48221/circulaire-du-30-aout-1985.html )
relative à la mise en place des conseils d'administration dans les établissements publics locaux d'enseignement

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20 juin 2010 7 20 /06 /juin /2010 12:06

 

Voilà ce qu'on aurait pu dire si,

père,

on n'avait pas ni de présence, ni de nouvelles

de son ou ses enfants ce jour-là:

 

" ... ";

 

Il n'y a rien à dire,...que des sentiments !

 

 

Comme en effet cela s'est passé...

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18 juin 2010 5 18 /06 /juin /2010 10:50

APPEL à TEMOIGNAGE

 

En vue des 4ème assises nationales de la protection de l’enfance à Marseille, les 28,29 juin2010

de parents dont les enfants sont les principales  victimes  des abus :

-                     des services sociaux,

-                     des magistrats des Tribunaux des Affaires Familiales,  des Tribunaux pour Enfants .

 

RADIO GALERE sur internet ou 88.4 FM,

Depuis mars 2010, cette radio donne déjà la parole aux parents privés d'enfants

qui seront sous représentés 28,29 juin 2010

aux ASSISES NATIONALES de la PROTECTION de L'ENFANCE de Marseille,

http://syndrome-alienation-institutionnelle.over-blog.com/

http://parents-disqualifies-enfants-places.over-blog.com/

http://lesabusdesservicessociaux.e-monsite.com/blog.html/ 

 

Réécoutez les émissions sur le forum de : http://sos-parents-abuses.forumactif.com/ 

 

Agathe recueille les témoignages de ces parents coupables

- d'avoir eu affaire à l'aide sociale à l'enfance,

- d'avoir demandé de l'aide à l'aide sociale à l'enfance.

Et que celle- ci à broyer.

Puis l'accusation à charge ne s'arrête jamais.

 Ces parents, certes, mais leurs enfants! Car ce sont eux les véritables victimes.

 

Votre parole de parents en audio est recueillie en  mp3, 

5 minutes,  

à télécharger sur l’adresse : aglo30@hotmail.fr

 

(transmission de l'annonce par RCB pour servir la cause commune de l'enfance)

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17 juin 2010 4 17 /06 /juin /2010 21:32

 

Pour en finir avec le massacre des enfants victimes des conflits parentaux.

 

 

Pour information : à l’origine, plusieurs versions entre 2007 et mars 2009

à Madame Morano, Secrétaire d’Etat à la famille,

Madame Bachelot-Narquin, ministre de la Santé,

Monsieur Vauquiez, secrétaire d’état à l’emploi,

Madame Rachida Dati, garde des Sceaux et ministre de la Justice,

Transmise à plusieurs parlementaires et élus du Rhône, Rhône Alpes, ou d’Auvergne,

Transmise au Président de la République.

Analyse proposée ici pour faire suivre à la rencontre du salon Primevère 2009 et de la réunion d’Annemasse du 27-28 février. 

 

 

Les membres du collectif du relais-Poussette sont invités à ce saisir de ce texte pour le faire évoluer en actualisant avec les analyses et apports récents. Le découpage initial était ce qu’il était. Cela reste une base que beaucoup connaissent déjà plus ou moins. En partant de l’ensemble des remarques de tous ici où là, il serait possible avec beaucoup de temps de faire une synthèse… mais ce serait fastidieux avec beaucoup d’inefficacité. C’est pourquoi, il vaudrait mieux que chacun lise tranquillement et reprenne ce qui lui semble correct, erroné, fallacieux ou incongru. En réunissant les contributions point par point, nous pourrons nous réunir, comme le souhaite plusieurs déjà, pour faire ce travail ensemble lors d’une session qu’il nous faudra organiser de concert de manière inter-associative et au delà. La synthèse sera alors le support de revendications légitimées par le nombre de ceux qui nous rejoindront.

Si cette proposition ne vous convient pas parce que vous ne l’a trouvez ni égalitaire, ni fraternelle, ou trop dirigiste ou manquant de pluralisme, c’est simple, il faut le dire clairement. J’ai trop entendu déjà lors du passage du Relais Poussette des confirmations de la difficulté déjà citée. Maintenant si le concept relais-poussette est un bien propriété intellectuel réservé, il suffit de lui substituer celui originel de ce texte, il n’est pas protégé, c’est juré !

   

 

 

Recommandations pour améliorer la vie des familles séparées et divorcées.

 

Proposition au Collectif Inter-associatif du « RELAIS-POUSSETTE » pour une coparentalité responsable.

 

 

   

Mesdames, messieurs,

 

 

Voici présentées quelques recommandations, fruit d’une longue analyse entre nos membres, pour enfin sortir du tabou qui consiste à prévenir le courroux du vote féminin ou des professions et associations concernées par la gestion de la vie de ces familles, souvent désespérées.

 

La synthèse est encore à faire et surtout à partager.

 

Plusieurs domaines seront évoqués :

  1. L’organisation de la relation parentale d’éducation ;
  2. L’application du droit en matière familiale ;
  3. Le contrôle des activités associatives de gestion de facto des familles ;
  4. Le respect des autres générations.

 

 

1)       L’organisation de la relation parentale d’éducation :

Les relations parentales d’éducation dans un contexte de séparation ou de divorce sont marquées majoritairement par le conflit :

 

a)       Les relations avec les institutions concernées par l’éducation des enfants doivent donc être organisées. Or les parents qui n’ont pas la garde ont beaucoup de mal à se faire entendre et manquent de reconnaissance : on les traite trop souvent comme s’ils n’étaient pas les parents de leurs enfants. Cet aspect participe du fait que certains parents abandonnent peu à peu leurs interventions dans les services concernés par l’éducation de leurs enfants pour ne pas se faire reprocher d’animer le conflit, voir d’éviter de faire « scandale » tellement l’incompréhension est grande.

 

b)       Il est donc nécessaire de mettre en place une forme de certification, différente de la production des jugements quand il y en a, de la qualité du droit qu’on des parents d’agir en vertu de leur responsabilité. La méfiance quasi systématique en relations avec des affaires surmédiatisées porte préjudice à la relation parentale. Pour rétablir la reconnaissance normale et naturelle qui doit à priori exister pour des parents qui ne sont pas tous des criminels en puissance.

 

c)        Les obligations de l’école, qui malgré leur existence dans les textes et rappelées dans les circulaires, ne sont que peu effectives dans les faits. Les établissements ignorent souvent l’existence du deuxième parent, trop souvent ne se contentant que de l’avis de celui qui se présente à l’inscription. La prise de rendez-vous avec le parent « éloigné » devrait être organisée de manière systématique par le directeur de l’établissement.

 

d)       L’Académie devrait avoir un rôle de constitution du listing officiel des deux parents de chaque enfant scolarisé. Quand les parents qui n’ont pas la garde de l’enfant sont maintenus ignorants des affaires scolaires de leurs enfants, ignorant même trop souvent l’établissement de scolarité de leur enfant par action volontaire de l’autre parent ; l’administration se doit de faire tout le nécessaire pour que cette situation ne persiste pas. Réponse doit –être donnée impérativement au Deuxième parent qui cherche les lieux de scolarisation de ses enfants.

 

e)       Lorsque le deuxième parent connaît ce lieu, il lui est trop souvent impossible d’obtenir les informations suffisantes pour suivre la scolarité. L’accueil par l’établissement est souvent un calvaire et non conforme à toutes les chartes d’accueil. Si le statut officiel de « droit d’autorité parentale » a un sens, il est pratiquement obligatoire que toutes les informations fournies au premier parent le soit aussi au second : l’agenda scolaire, les dates de réunions d’information, de rentrée, de parents d’élèves, notamment parents-professeur ; des sorties…

 

f)         La représentation comme parents d’élèves des Deuxièmes parents est rendue impossible par les procédures d’information des établissements par l’intermédiaire des enfants alors que de nombreux moyens sont possibles pour contourner cet écueil évident. L’administration scolaire oppose ses capacités budgétaires, or même quand les parents concernés offrent les enveloppes timbrées en questions, de nouveaux arguments viennent s’opposer à la totale information comme la disponibilité (fin des cours à 16h30) ou proposition de rencontre « entre midi et deux ». Lorsque les parents concernés se proposent pour être représentant des parents d’élèves, tout est fait pour les dissuader, … et quand ils le sont néanmoins : leur faire manquer les réunions de Conseil d’Ecole par des pratiques d’un autre temps. Il faut donc redonner toute la mesure de ce que sous-entend le « droit d’autorité parentale » chez les parents (les pères le plus souvent) en donnant des moyens efficaces dans l’organisation du respect de ce droit, qui est aussi un devoir qui dans ces conditions ne peut pas être respecté.

 

g)       De même, il faut revoir les obligations des centres d’activités sociales, culturelles et sportifs des enfants de familles séparées et divorcées. Le choix de l’inscription aujourd’hui ne peut se faire que par un seul des deux parents alors que ce choix doit être concerté entre les deux parents. L’Autre parent ne peut en pratique pas inscrire son enfant, quel que soit son besoin, dans un centre (sportif, culturel, social, de loisirs…) sans s’attirer des ennuis. C’est un problème d’organisation où le premier parent refuse à ce Deuxième parent la liberté d’agir pour le bien de l’enfant pour cause apparente d’indisponibilité ou de frais. La responsabilité des centres péri éducatifs est de tenir compte de ces situations. Celle de l’Etat est de faciliter le droit d’aménagement des emplois du temps pour la démocratisation de l’accès à tous les secteurs d’activités des jeunes concernés.

 

h)       Etant donné qu’il existe trop souvent beaucoup de tension autour des enfants pour organiser le droit de visite ou d’hébergement, et que l’intervention des services de police ou de gendarmerie ne sont pas les plus adaptés à ces situations familiales, la création d’une brigade spécialisée pour ces conflits familiaux devrait se faire jour, qui puisse intervenir le week-end, jours fériés et vacances contrairement aux autres services de médiation. En effet, la reconnaissance du droit de visite ou d’hébergement du parent qui n’a pas la garde, souvent par des biais incompréhensibles, est une justice que les modalités actuelles ont bien du mal à faire reconnaître. Un dépôt de plainte qui ne sera pas suivi et qui de toute façon est un obstacle de plus à la résolution des conflits ne permet pas à des enfants de voir leur second parent dans des bonnes conditions puisque la potentielle crise lors d’un échange est un motif supplémentaire à limiter ces échanges. Des services bien informés et formés à la réelle médiation familiale pourraient agir en temps utile, par la coercition éventuellement tant les deuxièmes parents sont les plus souvent en situation d’impossibilité d’exercer leur devoir ; parfois en venant de loin ou en se rendant disponible pour rien sinon l’aggravation de la situation. L’Etat ne peut pas rester totalement insensible à ces arrache cœur.

 

 

2)       L’application du droit en matière familiale :

a)       La réalité constatée par les parents qui n’ont pas la garde de leurs enfants est, que trop souvent, ils sont dans une situation déséquilibrée vis-à-vis de leurs enfants, par une relation contrainte liée au parent « gardien », et par une succession de faits qu’ils considèrent injustes.

 

b)       C’est pourquoi, il est nécessaire de réfléchir comment mettre fin de l’impunité pour accusations calomnieuses souvent si graves qu’elles entachent la moralité des parents concernés, et par conséquent leur filiation à terme. Le taux de classement sans suite après les calomnies plafonne autour de plus de 95% !

 

c)        De même, il faut mettre un terme à l’impunité pour émission de certificats de complaisance, dont le caractère d’objectivité est loin d’être garanti pour des raisons de clientélisme, d’idéologie ou de simple naïveté devant l’apparente situation. La parité de traitement selon les genres devrait aussi être un élément d’objectivité que la réalité des faits ne constate pas. Ordre de la médecine a un rôle à jouer autre que celui de protéger ses membres.

 

d)      Lors des constitutions des affaires en matière familiales comme pénales, le contrôle des pièces de justice devrait être un souci pour tous les professionnels concernés : or des pièces de toutes évidences, ou démontrées en vertu d’autres procédures concourantes mais ignorées, ou dénoncées mais non interrogées, se retrouvent dans les procédures sans être traitées comme telles. Le rôle des professionnels est d’exclure ses documents des dossiers C’est ce que devrait rappeler le Barreau des avocats… alors que d’autres sont exclus du fait d’être émis par des membres de la famille, des proches, ou des personnes en lien. De ce fait, l’inconsistance de personnes tierce qui ne comprennent pas les enjeux se retrouvent avoir une importance considérable mais inappropriée à la révélation de la vérité.

 

e)       L’exercice de « l’autorité parentale » concerne beaucoup en réalité la dotation financière appelée par parent ayant la garde. Or il n’y a aucun contrôle de l’attribution de la pension alimentaire pour ce qui est de l’objectif de « l’intérêt de l’enfant ». Or on constate que de nombreuses familles investissent dans des domaines qui ne semblent pas profiter directement à l’éducation de leurs enfants. Ce sujet est autant tabou que celui qui a consisté à sanctionner les familles par diminution ou suppression d’allocations familiales en cas de carences éducatives en lien avec l’école. Or c’est précisément ce qui se passe quand des parents n’ayant pas la garde constatent des carences dans le matériel nécessaire aux besoins scolaires, dans la tenue vestimentaire, dans les activités de leurs enfants.

 

f)        C’est pourquoi la création d’une comptabilité familiale, particulièrement à ces familles séparée et divorcée rendrait transparente l’aspect budgétaire des besoins des enfants et permettrait la disparition de l’opacité qui préside déjà dans l’obligation de preuve en cette matière pourtant affichée comme étant essentielle au droit de la famille. Un compte spécifique devrait être créé.

 

g)       Il serait de même nécessaire que soient prises en compte les autres contributions matérielles et affectives. En effet, l’exercice du droit de visite ou d’hébergement est souvent l’occasion de compléter matériellement les besoins constatés et celui d’activités spécifiques, qui ont leur coût, avec le deuxième parent. Jamais pourtant ces aspects ne sont comptabilisés alors qu’ils sont pourtant des apports consistants à l’éducation des enfants. Certaines associations ont proposé un cahier de suivi pour les deux parents permettant d’établir une certaine objectivité et un climat de confiance entre les parents. Si pour les cahiers de liaison scolaires, l’oubli est souvent la règle, là il serait incontournable et un élément de reconnaissance.

 

h)       Lorsque les difficultés financières de l’Autre parent sont là mais qu’aucune tenue compte n’est faite pour alléger la charge, il apparaît que la dépénalisation et redéfinition de « l’abandon de famille » (concept désuet) doit être l’objet d’un débat sérieux. Pourquoi aggraver la situation d’un père le plus souvent qui fait ce qu’il peut, ne serait-ce que pour ces enfants, et qu’on place dans une situation indescriptible d’impossibilité conjoncturelle tout en le sanctionnant. Dans ce domaine aussi, il faut la reconnaissance des situations et ne pas faire comme si systématiquement, tout était fait pour s’auto-paupériser.

 

i)        Lorsque les ennuis pleuvent sur le deuxième parent, il semble bien nécessaire de mettre un contrôle des activités bancaires car celles-ci, pour exécution d’ordre de justice, s’acharnent sur les comptes de particuliers qui ne peuvent pas faire valoir leur situation de précarité. Peut-on admettre qu’une banque puisse prélever, tout en étant informée, trois fois le volume de ce que touche comme RMI un citoyen dans le même mois ? C’est la responsabilité de l’Etat de surveiller l’application des mesures de prélèvement, les citoyens concernés n’en ont pas du tout la possibilité, ni de poursuivre ces établissements. On ne peut critiquer le modèle paternaliste en le perpétuant par cet archaïsme de modèle familial de subsistance et de dépendance matrimoniale.

 

j)        Il apparaît aussi que l’institution du mariage n’est plus ce qu’elle était et participe à la crise de confiance que traversent les ménages. Pour juguler l’échec des mariages, il apparaît que soient redéfinies les conditions de cette institution au sens civil.

 

k)       En particulier, il faut lutter contre le mariage « blanc et noir », c’est à dire, pas seulement les mariages consentis par des futurs époux en concertation délictueuse, pour établir des droits administratifs ou républicains ; mais aussi par ces personnes qui apparemment contractent un mariage, mais organise déjà la séparation, avec l’aide d’associations complices, voire instigatrices, à la vue de tous, pour l’octroi de droits et en simulant leur bonne foi. La légèreté et la précipitation des audiences de conciliation ont leur rôle à jouer, or nous allons vers plus de rapidité dans l’exécution, emportant les « bébés » avec l’eau du bain.

 

l)        Il apparaît clair que le statut du « parent isolé » et le rôle de la caisse d’allocation familiale est un facteur dans l’accomplissement de ces processus délictueux, avec le secours logistique loin d’être exceptionnel d’associations ou de professionnels du droit. Ce qui est incompatible avec leur fonction. De même que le respect des foyers d’accueil pour l’autorité parentale du parent incriminé dans la cause du départ du milieu familial. Le prétexte de viol, violence ou enlèvement ne peut pas être pris à la légère. Cela n’enlève rien au rôle de protection de ces associations-foyers si elles respectent elles aussi la législation.

 

 

3)       Ainsi, il faut instaurer aussi un contrôle des activités associatives de gestion de facto des familles :

 

a)       L’Etat doit reprendre son rôle de tutelle et auditionner aussi les usagers, pas seulement ceux qui n’ont pour intérêt que de multiplier les dossiers et maintenir leur activité. L’audit des associations subventionnées est de mise quand il s’agit d’activités sportives, culturelles, de loisirs ou éducatives ; pourquoi ne pas étendre cela dans le domaine familial dont les enjeux sont considérables pour la société. En effet, nous avons pu constater que malgré l’organisation d’une représentation des usagers, les règles de fonctionnement les plus simples dans les autres institutions de type associatif ne sont pas respectées.

 

b)       Le contrôle réel des résultats au plan du bien être des familles par les membres concernées devrait être une réalité établie de manière méthodique et non plus sur l’artifice de bilans convenus.

 

c)        La transparence et la consanguinité des membres statutaires qui sont trop souvent impliqués par un lien professionnel non apparent devraient être vérifiées comme cela est le cas pour nombre d’associations financières ou avec des membres étrangers. Sur le plan budgétaire, la communication des bilans comptables, des subventions et des utilisations, notamment pour les frais dits de « personnel » devrait être une réalité partagée par l’ensemble des usagers qui restent aussi des citoyens et des contribuables. Des personnes extérieures, représentatives des intérêts des familles comme les Deuxièmes parents, devraient pouvoir être sollicitées.

 

d)      Il serait efficace de mettre en place une représentation nationale des usagers des associations familiales « d’usagers des lieux neutres » et de médiation ; et de vérifier que celle en place dans les associations fonctionnent réellement selon les modalités prévues ; ce qui semble loin de la réalité vécue par les usagers.

 

e)       Il serait intéressant de procéder à une vérification des moyens donnés à la médiation des couples parentaux dans ce secteur d’institutions. Cela devrait y être réellement le but final. On devrait pouvoir y vérifier l’accomplissement et le respect du code de la famille. En cas de saisine par les particuliers en dehors des demandes judiciaires, l’état d’accord ou de refus pourrait légitimement être produit et constaté.

 

4)       Le respect des autres générations et le respect des enfants:

 

a)       Un autre point important dans l’application du droit est celui des familles, surtout les grands-parents, mais aussi les oncles et tantes, les amies proches des enfants concernés. Pourquoi faut-il que s’ils ne font pas de procédures judiciaires, avec leur coût et conséquence pour le climat familial, les grands-parents soient privés de leurs petits-enfants ? C’est pourtant ce qui se passe très souvent. Concrètement, des grands-parents, ne demandent pas l’exécution de leur droit naturel par crainte de « mettre de l’huile sur le feu » alors que leur capacité éducative est reconnue par tous. L’Etat doit veiller à ce que ces liens soient reconstitués. Ce n’est que Justice. Pourquoi nos « poilus » se sont-ils battus ? La liberté ! Qu’avons-nous alors à dire à nos aïeuls ?

 

 

b)       On ne peut plus ignorer la détresse d’enfants coupés de leur Deuxième Parent, et de parents qui sont coupés de leurs enfants ; le seul droit de visite ou d’hébergement, quand il est respecté, quand il existe, n’y suffit pas. Le Syndrome d’Aliénation Parental est maintenant suffisamment diffusé pour que toutes les institutions qui s’occupent de la famille en tiennent compte plutôt que d’aggraver les situations. Les associations compétentes devraient pouvoir développer la formation en ce domaine. La question médicale sur le terme « syndrome » doit être discutée et levée.

 

Les « Deuxième Parents » sont confrontés

·        non seulement à l’autre parent, souvent omnipotent, quand il y a conflit (et il y a réellement conflit au-delà des statistiques judiciaires),

·        mais aussi à la nébuleuse des institutions, incontrôlées, qui apparaissent lors de ces conflits et qui devraient tout faire pour rectifier le lien incommensurablement précieux des enfants avec chacun de leurs parents.

 

Nous devons avoir la volonté et la capacité de dépasser tous ces intérêts contradictoires qui s’opposent réellement à ce qu’il est convenu d’appeler « l’intérêt de l’enfant » en regardant de plus près la vérité occultée du «Deuxième Parent » qui ressent autant que son ou ses enfants le mal de la séparation s’insinuer dans toutes ces familles en devenir.

 

 

En attente de réactions et de contributions.

 

  

Lyon le 17 juin 2010,

 

Pour le collectif du Relais-Poussette.

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14 juin 2010 1 14 /06 /juin /2010 12:40

Commentaire déjà sur:

http://fr.buzz.yahoo.com/article/1:yahoo_france_175:6549db69048c84b3b03c398960776b35/Luc-Chatel-lance-sans-tabou-le-chantier-du-rythme-scolaire

 

Le serpent de mer du rythme scolaire ressort, mais comment imaginer que l'on traite vraiment les vrais problèmes occultés du débat ?

Ainsi le décalage horaire par rapport au soleil et au changement d'heure. Astronomiquement, ce décalage peut atteindre 2h30 ! Comme si au lieu de picorer, les poules doivent aller se coucher !

 

Les débats faisaient monter aux créneaux toutes sortes d'organisations positionnées politiquement ; mais on a peu entendu les vraies conclusions des chronobiologistes et des praticiens scolaires ou médicaux qui constatent les dégâts sur les enfants et les familles en général. Il semble que ce soit envisagé pour cette enquête ce qui nous fait espérer.

 

On a eût parlé des vacances des parents, du calage des dates pour que ceux qui travaillent puissent partir en vacances.

 

On oublie les nombreux couples parentaux séparés et l'obligation sanitaire que chaque enfants puisse voir ses deux parents séparés ; avec plusieurs millions d'enfants concernés dans notre pays.           

 

Espérons que cette fois-ci cette nouvelle initiative secoue le dogme de l'économie d'énergie, le fameux "supertanker" de pétrole soit disant économisé par année, à rapporter au coût réel de dépense de santé publique en psychotropes, journée d'absence ou conséquences des fatigues engendrées. Le standard  horaire pour les marchés boursiers à l'échelle européenne doit bien y être pour quelque chose si ce débat n'est pas ouvert. Traiter la crise, c'est aussi soigner les citoyens et anticiper les dérives dogmatiques. La solution sanitaire dépasse de loin celle présentée comme "économique". C'est quand-même curieux qu'on ne nous actualise pas cette fameuse "économie-tanker" depuis 1976?

 

(voir un historique qui montre bien que l'Europe est impliquée sur: http://fr.wikipedia.org/wiki/Heure_d'%C3%A9t%C3%A9)

 

Bonne chance à ce débat !

 

(RCB - mise à jour 14 juin)

 

 

En réponse à:

Luc Chatel lance "sans tabou" le chantier du rythme scolaire

Parmi les pistes envisagées pour optimiser le temps de classe des élèves figurent le raccourcissement des vacances d'été, le rétablissement des cours le samedi matin ou la mise en place de cours de sport tous les après-midi.

Le comité de pilotage intronisé lundi matin doit rendre ses conclusions courant 2011 et aucune décision ne sera prise avant, a dit Luc Chatel sur France inter.

"Mon sujet (...) c'est en clair de réconcilier le temps de l'école, le temps de la société et le temps des familles", a-t-il dit.

"C'est une démarche globale et sans aucun tabou. C'est pour cela qu'on va se donner le temps", a-t-il ajouté.

La France est l'un des pays d'Europe où les élèves suivent le plus grand nombre d'heures de cours par an, ramassées sur un nombre de jours de classes plus faibles qu'ailleurs.

Les chronobiologistes ont pointé de longue date les incohérences du système français, peu adapté aux facultés de concentration des enfants.

"Je ne fais pas cette conférence pour, par principe, réduire les vacances", a dit le ministre de l'Education, mais "les grandes vacances ont été inventées à la période où les petits Français retournaient dans leur famille faire les moissons".

Clément Guillou

 

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11 juin 2010 5 11 /06 /juin /2010 10:43

Par sympathie avec des activités qui contribuent à permettre de combler quelques vides, je transmets le message suivant même si nous ne sommes pas trop portés sur les activités de nature commerciale, le commerce est avant tout de l'échange, et source de Paix:

 

 

 

Bonjour,

 

Toute l'équipe Singlefamily est heureuse de vous annoncer le grand lancement du site Singlefamily.fr :

le 1er site de loisirs pour les familles monoparentales.

Elargir son cercle d'amis, découvrir de nouvelles activités avec son enfant, partager son experience avec d'autres parents célibataires,....

 

N"'hésitez pas à vous inscrire gratuitement, et à devenir membre Vip pour bénéficier de la messagerie en illimité et des sorties à prix réduits.

Profitez en, en ce moment, l'offre découverte est à 1€.

 

A très vite sur www.singlefamily.fr

 

 

 

RCB: En n'oubliant pas que les familles concernées doivent aussi se soucier du deuxième parent et intégrer cette préoccupation dans la préparation des activités des enfants.

Bon développement.

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11 juin 2010 5 11 /06 /juin /2010 10:28

 

Nous avons parlé tantôt des statistiques sur la violences conjugales.

 

Nous avons montré que la méthodologie d'enquête en France avait été entâchée d'anomalies majeures.

(lien: Statistiques du divorce: ségrégationisme à la française?

Sexisme dans le traitement de l'enlèvement familial des enfants Noizet dans l'Aisne )

 

Maintenant, regardons comment cela s'est-il passé au Canada pour faire une comparaison. Ce dossier encore incomplet se complètera au fur et à mesure. Mais cette vidéo que je vous propose montre bien la problématique à laquelle nous sommes confronté pour faire admettre la parité comportementale homme ou femme vis-à-vis des situations de crise conjugales ou non d'ailleurs.

Comme le conclue un des chercheurs, nous avons a faire un un vrai séxisme.

 

http://www.youtube.com/watch?v=HfnoKas71_0&feature=player_embedded

 

Information acquise par le site: http://pem.mediation.free.fr/BFF/news.php?lng=fr

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9 juin 2010 3 09 /06 /juin /2010 17:39

L'une des conséquences du passage du Relais Poussette sur la Région de Lyon est que les associations concernées par la séparation et la rupture avec les enfants se sont trouvées ou retrouvées.

 

C'est le cas de l'Association L'Enfant et son Droit (siégeant aussi à LYON)

 

 

 

 
     
 

 


 
(d'après leurs propres informations)
La permanence a lieu habituellement de 20h à 22 heures le premier lundi du mois.

37, rue Bossuet 69006 Lyon salle N°1.

Ouverte à toute personne désirant aider un enfant souffrant de la séparation conflictuelle de ses parents qui, désunis, oublient trop facilement qu’ils demeurent pourtant le Papa et la Maman de l’Enfant né de leur union passée.

C’est pourquoi, un enfant en souffrance a besoin que l’association l’aide en s’efforçant de faire connaître et respecter son droit à ses 2 Parents, ses 2 familles, ses 2 cultures.

Si vous êtes à proximité, rejoignez les … votre appui leur donnera plus de puissance
dans nos démarches à tous.

Contacts :
téléphone 04 78 52 72 74 ou 06 60 60 03 40
courriel : contact@enfantetsondroitlyon.fr
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6 juin 2010 7 06 /06 /juin /2010 17:45

Aujourd'hui se réunissent place de la Bastille à Paris les parents privés d'enfants dans un collectif -voir les pages précédentes du blog). Pour que ceux qui découvrent ces situations se rendent un peu compte, voici quelques cas: 

 

CAS NUMERO 1:

http://www.lepopulaire.fr/editions_locales/creuse/le_cri_du_coeur_d_un_pere_prive_de_ses_trois_enfants@CARGNjFdJSsGFBkCBBQ-.html

 


 

Désespéré d'être privé de ses enfants, Michel Liénéré a manifesté, ce mercredi, devant le palais de justice de Guéret.

En instance de divorce depuis 2006, cet homme de 35 ans se désole de ne pouvoir passer du temps avec ses trois enfants, qui vivent aujourd'hui avec leur mère en Charente-Maritime.

 

Pour se rapprocher d'eux, Michel Liénéré a déménagé de Saint-Vaury à Bellac.

« Pour mes droits de visite, je dois aller chercher mes enfants en Charente-Maritime. Plusieurs fois, j'y suis allé et ils n'étaient pas là », confie-t-il. Ses plaintes pour non-présentation d'enfants ont été classées sans suite.

 

Le père de famille ne comprend pas pourquoi le divorce n'a toujours pas été prononcé. L'affaire est compliquée par l'intervention de deux tribunaux : le juge aux affaires familiales de Guéret pour le divorce et le juge des enfants en Charente-Maritime.

 

« J'espère que la justice va bouger et qu'elle va enfin écouter mes enfants, qui disent vouloir vivre avec moi, lance Michel Liénéré, visiblement épuisé par un combat qui dure depuis quatre ans. Mon seul souhait est de rendre mes enfants heureux. Ils n'ont rien à faire dans cet engrenage judiciaire ». 

 

Catherine Perrot

 

Retranscrite telle quelle une lettre au ministre de la Justice: "Je suis en cours de divorce depuis 4 ans et j'ai 3 enfants. Depuis notre séparation la maman fait tout pour que je ne vois pas mes enfants ce qui a fait l'objet d'une vingtaine de plaintes pour non présentation d'enfant.
Elle n'a jamais été puni. L'année dernière, elle a déménagé en Charente Maritime pour ne plus que je vois mes enfants. Je dois faire 1200km pour prendre mes enfants et les ramener. Que des fois elle ne me donné même pas.
Elle est également violent avec mes enfants aussi bien physiquement que moralement. Elle a avoué avoie été violente à l'égard des enfants sur le rapport de l'enquêtrice social. J'ai montré des attestations des gens qui
disaient qu'elle ne s'occupait pas des enfants et qu'elle les maltraité. Le Juge lui a quand même laissé la garde. J'ai demandé à plusieurs reprise de faire partager les trajets comme elle été parti loin, ce qui n'a jamais été fait!
Aujourd'hui, je n'ai pas pu ramener mes enfants au domicile de leur mère car je suis au RSA et n'avais plus les moyens de faire tous ces aller et retour. La maman n'a jamais voulu venir les chercher, n'a jamais pris de nouvelles de mes enfants pendant 1 mois 1/2.
Elle a su que porter plainte contre moi et a demandé que l'on me supprime mes droits de visite et d'hébergement. Les enfants ont été placé en maison d'accueil pendant 10 jours, jusqu'à ce que la juge des enfants décide de les remettre chez leur mère.
Par la suite quand je suis passé devant la juge des affaires familiale, sur demande de la mère, elle m'a retiré mes droits de visite. Je ne peu plus voir mes enfants, sauf dans un lieu médiatisé.Il faut maintenant que je fasse 600km pour les voir une demi-journée par mois.
C'est moi qui suis puni pour une seule erreur alors que mon ex-femme n'a pas respecté le jugement à plusieurs reprises et elle n'a jamais été puni. C'est injuste.
C'est pour cela que je demande à tous de me soutenir, de signer ma pétitions car c'est ensemble qu'on fera bouger cette justice qui ne fait pas son travail correctement."

A partir du lien  : http://www.mesopinions.com/je-suis-hors-la-loi-car-je-suis-un-pere-petition-petitions-bab17d66260ed1eceedf3f7a9c2620c5.html

 

avec un lien vers une pétition, cliquez-ici.

 

Cas numéro 2:

Maria Pia Maoloni:

http://www.dailymotion.com/video/x6gxab_maria-pia-maoloni-reseaux-pedophile_news

 

 

Cas numéro 3:

Un homme, père de trois enfants, qui va porter plainte au commissariat mais qui se retrouve lui en garde à vue pour "violence conjugale" pour assister une autre personne qui a subit elle réellement des actes de violences et surtout des calomnies graves (incrimination d'attouchements sexuels). Un divorce s'ensuit où les enfants disparaissent quatre mois totalement à la vue et à la connaissance de leur père... et ensuite périodiquement pendant des semaines ou des mois avec le sceau des institutions pendant des années en attente de cessation de l'impunité aux fausses accusations et retour légitime du lien avec les enfants.

 

 

Dans les pages précédentes du blog, d'autres cas avec les témoignages du Relais Poussette à écouter:

 

Quelques images de la progression du Relais-Poussette entre Montpellier et Paris

 

Le Relais-Poussette à Givors, Lyon, Montmerle...

 

http://www.youtube.com/watch?v=5btQAqGSJM8 avec par exemple le témoignage poignant d'Alain.

 

Des cas à n'en plus finir pourraient remplir ces pages, chaque jour... Combien de temps les acteurs sociaux tolèreront ces cas de figures? ces maltraitances? Ces dégâts !

 

 

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4 juin 2010 5 04 /06 /juin /2010 15:44

 

Le réseau Colin Bagnard dIscute beaucoup des questions concernant les enfants; elles sont prioritaires.

 

Mais les conséquences du divorce touchent aussi la sphère pécuniaire. Quand les questions de sous s'aggravent tellement, il est certain que les questions parentales risquent de passer à un second plan si la précarité est criante. IL FAUT GARDER LE SENS DES PRIORITES.

 

 

Souvent l'interlocuteur pivilégié qu'était votre banquier devient subitement un cauchemar !

 

C'est pourquoi, pour les problèmes liés à vos relations avec votre banque: comptes bloqués, agios abusifs, surrendettement, litiges divers... nous vous conseillons de vous adresser à une association spécialisée:

 

l'A.F.U.B.          ASSOCIATION DES USAGERS DE BANQUES

 

http://www.afub.org/index.php

 

VOUS TROUVEREZ LES ANTENNES LOCALES.

 

VOUS TROUVEREZ DES MODELES DE COURRIERS TRES UTILES

http://www.afub.org/modele_lettre.php

 

ET

 

DE L'ACTUALITE SUR LA FACON DE TRAITER CERTAINES AFFAIRES MATERIELLES.

http://www.afub.org/communique.php avec beaucoup de détails...

 

 

Pour vous donner une idée: http://www.afub.org/rapetout_pourquoi_comment.php

 

LE PRIX RAPETOUT
Conflictuelle, votre banque ?

 

Pourquoi, comment ?

 

Pourquoi, Comment ?

 

L’AFUB a entrepris depuis octobre 2009 la publication du palmarès trimestriel des établissements les plus conflictuels. Ce baromètre  est donc un «indicateur des risques bancaires conflictuels » et  exprime « un indice d'insatisfaction  »  permettant une comparaison entre les établissements.

Il s’agit là d’une mesure objective de la relation banques-clients au travers de plus de 2000 témoignages écrits adressés, au cours du dernier trimestre, à l'AFUB et qui dénoncent  que leurs réclamations sont demeurées sans réponse ou n'ont pas eu une suite cohérente.
L'objectif de ce baromètre est, par delà cette mesure, de stimuler la concurrence  interbancaire dans la perspective d'une amélioration, à moyen terme de cette relation client.

Les pommes de discorde sont bien souvent la conséquence de la logique commerciale qui transforme le "conseiller bancaire" en un "vendeur"; elles sont aussi la conséquence de la crise économique et financière, notamment en matière

- d'épargne où, après l'effondrement des marchés boursiers, les pertes majeures subies par les assurances vie conduisent  bien souvent à mettre en cause des conseils inadaptés ou une sous-information;

- de crédit avec ces refus  de prêt, ces crédits-relais victimes de  la crise immobilière;

- de frais avec la multiplication de nouveaux frais (nota frais de mise à disposition de chéquiers, frais de retraits d'espèces en l agence qui tient le compte) et la pratique tarifaire des "commissions d’intervention", toutes pratiques qui seraient susceptibles de porter à croire que les banques se "refont" des pertes  enregistrées en d'autres domaines.

Ce baromètre met en évidence la relativité de l'efficacité des modes alternatifs de règlement des conflits et en premier lieu des médiateurs instaurés par la loi de 2001.

A ce sujet la mesure de ce baromètre doit être appréciée au regard de cet autre baromètre, celui des réclamations publié par  la DGCCRF et qui révélait, fin septembre 2009, une augmentation de plus de 15% des plaintes en matière bancaire.
C’est dire que le baromètre mis en place par l’AFUB  prendra tout son intérêt lorsqu’il permettra une évaluation dans le temps et une appréciation comparée des comportements bancaires et de leur évolution.

 

Retour à la page précédente

 

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Tous droits réservés, reproduction partielle ou totale interdite sans l'avis préalable de l'auteur
Dernière révision : 19 Mai, 2010

 

 

pour RCB



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4 juin 2010 5 04 /06 /juin /2010 09:56

N'oubliez pas ce week-end:

 

 

Fête des Parents Privés d’enfant

le dimanche 6 juin 2010

entre 15 h et 21 heures

sur le terre-plein Richard Lenoir

Paris Bastille – après le marché

 

initiative de l'association contre la privation illégitime de parent

 

http://www.sos-prives-de-maman.org

 

 

représentée par: Ana Milheiro

mob  +33 (0) 6 32 28 73 24

fix     +33 (0) 9 52 70 98 59

 

Mesdames, Messieurs,

 

Conformément à ses engagements, notre jeune association SOS PRIVES DE MAMAN,  propose une action de solidarité qui vise la cohésion entre pères, mères, défenseurs des droits de l’enfant et ceux qui luttent contre la violence dans la vie privée pour soutenir ensemble le Contrat de la Coparentalité et diffuser cette alternative au grand public.  

 

(à lire et relire dans les pages précédentes ou directement sur le site du

Collectif de la fête des parents privés d'enfants:

 http://relais-poussette.gandi-site.net/

 

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3 juin 2010 4 03 /06 /juin /2010 13:37


En effet, quel nom bizarre?!?

Si le Réseau Colin Bagnard s'appelle comme cela, c'est en raison de son cadre de naissance: L'Association Colin Maillard qui est à l'origine du nom est un des lieux médiatisés de la région lyonnaise.

En effet, l'association "lieu neutre" COLIN MAILLARD, de Villeurbanne,

où des pères et mères de RCB se sont rencontrés, appelaient entre-eux leur lieu de visite de leur enfants avec humour: "Colin Bagnard" en réponse à la situation ubuesque à laquelle ils se sentaient enfermés. Or l'humour est très utile pour surmonter le drame de la séparation.

C'est donc par une saine réaction d'humour que le nom est resté. Car ne pas pouvoir rendre visite à ses enfants autrement que dans un cadre, agréable par ailleurs, est vécu comme un BAGNE, avec son lot d'injustices. Le mot "BAGNARD" indique d'abord un SENTIMENT, car voir ses enfants là ne correspond pas à une situation normale et créée de l'incompréhension. Mais ce n'est pas un BILAN NEGATIF.

 

 

L'interprétation qui en a été faite parfois de "plagiat" ou de dénigrement ne reflète pas la réalité. D'ailleurs, plusieurs membres de RCB qui ont connu cet "espace rencontre" ont pu bénéficier des capacités et de la légitimité conférée par décision de justice de ce centre à modérer les émotions des uns et des autres et à favoriser un temps privilégié avec son ou ses enfants pour le parent qui n'a pas la résidence habituelle. Malheureusement, pour certains parents, ce n'est pas suffisant.

Mais nous avons rencontrés des parents qui se trouvent dans des situations telles que la "solution Colin maillard" nous apparaisse une solution constructive et permettant d'enrailler la spirale de l'éloignement d'un des deux parents vis-à-vis des enfants.

 

Nous encourageons donc les parents qui seraient concernés à contacter cette association en espérant que la saturation du service ne sera pas un obstacle trop important pour renouer le lien. Nous reviendrons dans d'autres pages sur ces "lieux médiatisés" plus en détail prochainement.

 

Pour information:

Lieu d'accueil réservé aux parents séparés non gardiens permettant de rencontrer leur(s) enfant(s).

http://www.cdad-rhone.justice.fr/adresses-utiles/fiche/id/8037

 

Comme il est expliqué dans les pages du blog RCB, la présence de lieux tels que la maison Colin Maillard est pour beaucoup de parents séparés la seule solution à un moment donné qui existe pour qu'ils puissent voir leurs enfants. Cela se discute, mais c'est justement ce que nous souhaitons lors des conflits parentaux comme un minimum. Bien sûr, cela ne doit rester qu'une étape vers la capacité des parents à s'entendre pour organiser les visites, les échanges, les activités avec leurs enfants.

 

Cette étape ne peut que rester TRANSITOIRE. C'est pourquoi pour l'ensemble des "lieux médiatisés", nous pensons qu'il faille donner des garanties aux parents concernés, dont certains sont inscrites dans nos propositions qui continuent à s'actualiser. La représentation nationale de ces parents usagers de lieux médiatisés devrait être simple à mettre en place, s'appuyant sur les Conseil de la Vie Sociale des organismes accueillants. Tout doit être fait pour que le cycle des visites soit rapide, en fonction des cas bien entendu, et permettent ainsi le passage de parents qui sans cela ne retrouveront pas un climat appaisé. Tout bon projet doit avoir son évaluation et son retour d'expérience.

 

Si parfois l'impact de cette dénomination de notre seule association a créé une interrogation, c'est qu'elle émane d'une association qui cherche à faire évoluer l'ensemble de la chaîne de la co-parentalité: parents - mairie - justice - force publique - avocats - lieux médiatisés - médiation familiale - parents co-responsables...

... Mais on ne fait pas d'omelette sans casser d'oeufs.

 

RCB

 

Adresse Colin Maillard

Adresse : 16 bis rue Emile Decorps
69100
VILLEURBANNE
Horaires ( à vérifier auprès des services) : Le mardi et mercredi de 10h00 à 18h00
Le vendredi de 13h30 à 19h30
Le samedi et dimanche de 9h00 à 19h00
Tel : 04 72 36 90 15
E-mail : colin.maillard@free.fr
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2 juin 2010 3 02 /06 /juin /2010 20:13

Voilà à partir d'un exemple pris sur un site de rabattage:

 

http://droit-finances.commentcamarche.net/forum/affich-3817515-garde-de-mon-enfant-pere-instable

 

Bonjour,

Je viens de me séparer de mon concubin, nous avons une petite fille. Je me suis occupée de ma fille depuis qu'elle est née, son père a dû la garder une journée depuis qu'elle est né, elle a aujourd'hui 14 mois.
Il ne s'en est jamais vraiment occupé et son problème, c'est l'alcool. Il ne se passe pas une semaine s'en qu'il boive avec ses copains 1 fois tous les 2 jours.
A cause de cela, je n'ai plus aucune confiance en lui et donc je souhaite avoir la garde complète de ma fille mais son père pourra comme même venir la voire mais je ne souhaite pas qu'il l'a prenne avec lui, je ne serais jamais en sécurité.
Si je dois passer par un avocat, sur quels motifs dois-je le plus m'appuyer pour pouvoir mettre toutes les chances de mon côté pour obtenir cette garde ? Tout en sachant que c'est pour le bien de notre enfant, et tant qu'il ne se fera pas soigné, je ne changerais aucune de mes positions.

D'avance merci de votre réponse.

Cordialement

 

 

Questions d'un membre de rcb n°1:

- En tant que mère, ne vous êtes pas trop sacrifiée pour cette fille en vous en étant  occupée depuis sa naissance?

- l'alcool est-il le seul prétexte que vous avez trouvé pour cette rupture ?

- quand il voit ses copains, ils se soulent chaque fois comme des cochons?

- l'intérêt de votre enfant est-il de ne jamais être hébergé chez son père dans un avenir plus ou moins lointain?

- vous avez peur! Envisageriez-vous une thérapie?

 

Commentaires d'une autre membre de RCB n°2:

- C'est normal que vous vous occupiez de votre fille c'est un acte naturel à toute femme. Le fait de dire de cette façon sous entend que vous avez déployé un effort surnaturel pour vous occuper de votre fille. La fille n'a que 14 mois donc il y a de fortes chances que vous ayez la garde...Cependant je vous conseillerais pour le bien de votre enfant aussi de ne pas le laisser trop distant de son père.

 

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30 mai 2010 7 30 /05 /mai /2010 22:05

 

Le Réseau Colin Bagnard s'est joint pendant quelques jours au Collectif de la Fête des Parents privés d'Enfants dont voici quelques images:

 

Passage du relais-Poussette à Givors:

http://www.dailymotion.com/video/xdhrax_france-3-rhone-alpes-23-mai-2010_news

 

Passage du Relais-Poussette à Lyon avec des témoignages de parents qui constatent la souffrance:

http://www.dailymotion.com/video/xdhsuq_lyon-relai-poussette_news

 

Témoignages de l'incapacités à traiter socialement la séparation:

http://www.dailymotion.com/video/xdgy5e_entretien-avec-frederic-poitou-synd_news

 

L'invitation à Paris pour le 6 juin Place de la Bastille:

http://www.dailymotion.com/video/xdgyqp_relais-poussette-etape-6_news

 

"Un enfant se fait à deux"::

http://www.dailymotion.com/video/xde3r4_relais-poussette-etape-3_news

 

 

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30 mai 2010 7 30 /05 /mai /2010 00:13

Article rédigé à l'intention de pères et mères qui essayent de ce mettre à la place de l'Autre. 

 

 

Aujourd'hui 30 mai: Fête des Mères !

 

Dans quelques jours le 20 juin, sera la Fête des Pères.

 

Cela fait trois semaines où la parentalité, ou la co-parentalité devrait

 

s'exprimer dans toute son ampleur...

 

C'est un temps pour réfléchir à nos familles désunies : ces pères qui n'offriront pas de cadeaux car la mère en question ne fait plus partie de leur giron. Mise à part les quelques rustres qui ont oublié ou qui observent leurs bourses déliées, certains pourraient bien ne pas avoir envie tout bonnement d'offrir quoique ce soit à celle qui vous a pris la vitalité du dynamisme de vos enfants... Avec une botte d'horties dans un vase en plastique plaqué toc leurs suffirait bien.

 

Mais si on "oublie", pas étonnant qu'en face, on oublie de même dans quelques jours... mais je n'ai pas besoin d'hortie ni de vase. Nous verrons bien comment la réciproque s'organisera. 

 

Il faudrait pouvoir oublier... 

 

Quelques idées :

 

Les plaisantins pourraient demander à un enfant de récolter des chenilles à mettre dans la boîte à camembert à disposer dans le frigo.  Avec des araignées même, effet garanti ! Mais la phobique engeance n'apprécierait pas.

 

Comme j'observais ce matin deux pigeons sur ma fenêtre qui prenaient leurs aises comme un signe pour cette journée; mieux vaut envoyer une photo du temps béni où poussaient les enfants dans le nid douillet d'un couple parental ET conjugal encore heureux. Si la branche du nid a cassé, les poussins sont encore là !

 

De meilleures idées à nous proposer ? Qu'auriez-vous fait à notre place ?

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29 mai 2010 6 29 /05 /mai /2010 23:59

Pour aider chacun confronté à la stupeur de la séparation dès que possible à proximité géographique, le Réseau Colin Bagnard avait publié un annuaire des associations de la coparentalité, liées au divorce, aux affaires familiales, au droit des enfants et des parents séparés de leurs enfants. Avec les événements du collectif et de la fédération nationale en cours d'organisation décidée le 30 mars dernier, il nous faut reprendre cette liste à zéro et mettre à jour cette liste.

 

ANNUAIRE provisoire des associations liées au divorce, aux séparations familiales et à l’autorité parentale

 

 

Un travail systématique de recensement des associations liées à la co-parentalité et aux dégats du divorce pourrait être mené, mais l'idéal est que vous nous aidiez...
 

Liste à compléter et à modifier en cas de changement ou d’erreurs,

merci d'utiliser :

reseau-colin-bagnard@orange.fr

 

nom de l'association - département - sigle - coordonnées - responsable - contact - adresse - permanences - lien internet ... selon.

 

Merci.

 

 

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29 mai 2010 6 29 /05 /mai /2010 08:31

La médiation familiale qui a vu son avénement en Europe suite au développement aux USA dans les années 90' de la médiation dite "à l'américaine". S'opposant à la Justice "judiciaire", la médiation familiale redistribue aux personnes concernées la capacité d'agir. En France, depuis, de nombreuses associations ou organisations saciales ont mis en place des services de médiations familiales. L'opposition initiale aux Amériques n'est plus aussi claire. Si bien que en France, un juge aux affaires familiales peut "ordonner" une médiation. Certains juges même, dans leurs pratiques, agissent tout à fait dans l'ESPRIT DE MEDIATION.

 

 

Avec la passage du Relais Poussette du Collectif de la Fête des Parents privés d'Enfants, un débat se fait jour clairement: Pour ou Contre la médiation.

 

Certains sont Contre "la médiation" car ils revendiquent que les soucis de parentalités qui les préoccupent et le conflit dans lequel ils sont enfermés ne doit pas être l'affaire d'un tiers et qu'il doit se résoudre en interne. Encore faut-il en être capable.

 

Certains sont Pour, considérant que la compétence de professionnels formés devrait aider à dissoudre le conflit et à revenir à plus de responsabilité vis-à-vis des tiers et surout des enfants issus du couples.

 

Dans tous les cas: personne ne peut s'opposer à l'Esprit de médiation.

 

Le terme étant polysémique, tantôt au sens "institutionnel" avec ses normes et pratiques, tantôt au sens "cordial" et informel, nous ne devons pas nous arréter à un mot.

 

Surtout quand on attend de ce mot de suspendre Tous les Maux que la séparation engendrent.

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27 mai 2010 4 27 /05 /mai /2010 13:04

 

 

Rappel sur les objectifs du Relais-Poussette:

quelques deux milions d'enfants qui ne voient plus l'autre parent!

http://www.dailymotion.com/video/xd2lol_appel-a-temoin-relais-poussette_news

 

 

Reportage France 3 sur les parents privés d'enfants pour causes de divorce, de décès ou autre causes...

 

http://www.dailymotion.com/video/xdc8fu_operation-relais-poussette-journal_news

 

 

Rappel sur la Convention Internationale des Droits de l'Enfant:

http://www.dailymotion.com/video/xdcy8p_france-3-pays-gardois-17-mai-2010-r_news

 

Témoignages de quelques parents : séparés mais qui permettent à leurs enfants de voir l'autre parent:(une co-parentalité responsable)

 

http://www.dailymotion.com/video/xde3r4_relais-poussette-etape-3_news

 

 

Le trajet prévu sur le site http://relais-poussette.gandi-site.net/

 

(à vérifier lors du passage réel auprès d'ANA ou des associations locales jusqu'à Paris):

 

Témoignez pour les enfants !

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25 mai 2010 2 25 /05 /mai /2010 23:00

 

Bonjour à tous les sympathisants du relais poussette.

 

Après Vienne, Givors, Lyon, Neuville, Trévoux ces derniers jours, c'est aujourd'hui de Macon que part la poussette, à la mairie vers 9h (à vérifier).

 

Soyez nombreux pour soutenir ce mouvement !

 

 

 

 

 

A LYON, sur la place des Terreaux en fin d'après midi du dimanche 23 mai, des pères et mères concernées par la séparation des enfants se sont rassemblés, responsables associatifs ou parents.

 

Même si le nombre attendu ce jour-là était en relation avec ce jour de Pentecôte où les familles sont occupées par d'autres fêtes familiales, il est toujours réconfortant de se retrouver entre nous pour reconnaître la complexité des questions à traiter autour de ce douloureux sujet de société.

 

 

Merci à ANA, qui nous a réunis, 

 

Merci à tous ceux qui se sont débrouiller pour participer d'une manière ou d'une autre malgré tant de contraintes:

 

les 

 

Alain,

Claude,

Christelle,

Frédéric,

François,

Gérald,

Georges,

Isabelle,

Jean-Marc,

Michel,

Nicolas,

Philippe,

Roger,

Sandrine,

Simone,

Tannick,

Yves,

Yvonne... 

anonymes ou inconnus...

Qui à titre associatif ou personnels convergent dans le même sens... Pour Nos Enfants !

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24 mai 2010 1 24 /05 /mai /2010 08:08
Lorsque nous parcourons les pages des associations de protection de l'enfance sur le net, nous sommes tentés de discriminer ses mouvements en "masculinistes", "féministes", car peu affichent clairement leurs objectifs vis-à-vis de la parité homme---femme. C'est pourtant le cas du Réseau Colin Bagnard. Le droit des enfants " à avoir des relations avec ses deux parents" comme cela est inscrit dans le Convention Internationale des Droits de l'Enfant, passe bien évidemment par la "parité". C'est à dire le développement de la reconnaissance, non pas ici sur un plan politique sur une liste électorale, mais pour l'Enfant, d'un apport fondamental issu des deux parties.

Lors du passage du Relais Poussette à Lyon, nous avons fait connaissance avec Madame Porcher, du mouvement qui s'affiche clairement "féministe" LADIES WORDWIDE. Evidemment, le développement de ce mouvement s'est ancré sur le constat de réelles souffrances du côté féminin qu'il faut traiter à sa juste valeur. Si nous n'avaons pas encore lu le livre ci-dessous, nous pensons pourvoir dire que les témoignages et études de cas apportent une contribution importante au débat qui ne pourra qu'avoir vraiment lieu à l'échelle nationale autour des questions de la famille.

  

Dans les exemple pris, pour un public peut-être ciblé plus féminin, les cas représentent un père diabolique. Sandrine Porcher m'a assuré avoir constaté un tiers de signalements à l'association de maltraitances en provenance d'hommes pour deux tiers en provenance de femmes. Dans tous les cas, il faut tout faire pour bloquer les rouages d'un système qui trop souvent accroit la souffrance plutôt que de travailler résolument à la faire disparaître.

  

Peut-être ne sommes-nous pas d'accord sur certains chiffres et statistiques évoqués dans ces lignes, mais nous en reparlerons ultérieurement lors du débat sur la famille à l'échelle nationale.

Un autre point qui nous a touchés est l'importance à donner à la parole de l'enfant, dès l'âge de 8 à 10 ans, qui trop souvent est occultée ou déniée. L'enfant n'est pas considéré comme une personne! Constat partagé par l'ensemble des associations contribuant au Relais-Poussette.

 

 

Repris du blog du livre de Sandrine Porcher: http://nonassistance-aenfantsendanger.blogspot.com/

TEMOIGNAGE D'UNE LECTRICE
Lettre reçue d’une mère victime et laminée par la Justice
 
« J’ai déjà acheté un exemplaire de votre livre, et après l’avoir lu avec attention, je trouve indispensable d’investir dans votre cause en commandant cinq livres de plus…
 
Pourquoi ? Tout simplement pour les envoyer aux JAF (Juge aux Affaires Familiales), JE (Juge des Enfants), Procureur, services sociaux, qui ont eu un jour le destin de mes enfants entre leurs mains…
 
   
Là aussi dans notre cas, la Justice a lamentablement échoué, et ce « dans l’intérêt de l’enfant » nous a-t-on dit hypocritement !
 
 
Mes enfants ont été confiés il y a cinq ans à leur père, pervers narcissique en chef, alors qu’ils étaient âgés de 6 et 8 ans. Les rapports avec mes enfants étaient excellents à cette époque.
   
Aujourd’hui, je ne vois plus mon ainé, qui est devenu le « panzer », (char d’assaut allemand) de son père, c’est le petit surnom qu’il lui donne…
Je passe les nombreuses manoeuvres fallacieuses qu'il a effectuées pour récupérer la garde de nos enfants, en mentant et manipulant la Justice complice. Mon aîné n’a effectivement cessé d’exécuter les ordres de son père, y compris de porter des accusations mensongères (pédophilie et maltraitance) contre mon nouveau compagnon et père de nos deux autres très jeunes enfants, alors qu’ils n’étaient jamais ensemble, pour nous faire avoir des ennuis avec les institutionnels complaisants.
 
   
Celui-ci commençait à avoir de sérieux ennuis. ( garde à vue, etc… ). Comme son père l’a dressé à nous détester, et à nous mener une vie infernale avec nos deux autres enfants qui vivaient très mal cette présence, j’ai dû renoncer à mon droit de visite, pour la survie de ma nouvelle famille.
 
  Mes deux premiers enfants ont été détruits sciemment psychologiquement et aussi physiquement par leur père, uniquement pour me faire du mal, pour s’en servir comme armes et se venger de moi car j’ai un jour osé le quitter.
   
A 13 ans, mon enfant le plus âgé est boulimique, pèse 90 kg pour 1.60 mètres, et la seconde est anorexique, pèse 35 kg pour 1.56 mètres. La cadette vient toujours à la maison, mais prend le même chemin que mon aîné. Que faire ?
 
  J’ai honte de la Justice française et de ses services sociaux.
 
 
Merci d’avoir le courage de dénoncer les souffrances de ces enfants et les douleurs de ces mères, qui restent meurtris à vie, et nous sommes trop nombreux hélas !
 
Pourquoi utiliser son pouvoir pour distiller l’enfer ? »
DOSSIER DE PRESSE
Dossier de Presse

« Non assistance à enfants en danger, Plaidons tous coupables ! », un livre de Sandrine Porcher aux Editions Les Ladies L WIN, 370 pages, 15 Euros.

Tous les bénéfices de cet ouvrage seront intégralement reversés à la cause des enfants maltraités. Les familles recevront en direct les règlements sans aucun intermédiaire. Pour pouvoir se défendre dignement, payer les expertises et contre-expertises hors de prix, assister les enfants lors des audiences où ils sont malmenés, etc.

  Est-ce normal pour un jeune enfant de rêver à être bien défendu ? Chacun en silence, sidéré et désarçonné, répondra à cette question en son âme et conscience…

A propos de notre ouvrage « Non assistance à enfants en danger, plaidons tous coupables ! »

Ce qu’en dit l’auteur : « Notre objectif est d’informer le grand public sur les postures des institutionnels que nous côtoyons 365 jours par an depuis 25 ans. Notre expérience dans les dossiers de dysfonctionnement de la protection de l’enfance est édifiante, elle vous révèlera avec exactitude la réalité humaine constatée sur le terrain. Vous constaterez le délabrement de la défense des droits humains, totalement bafoués dans les cas présentés.

Nos associations travaillent au plus près des enfants maltraités, nous les soutenons au quotidien, au jour le jour, nous étudions de manière chirurgicale les pièces des dossiers qui nous sont confiés, et pas quelques minutes ou quelques heures dans un bureau feutré, mais pendant des jours, des mois, des années que durent des procédures interminables qui ne rendent jamais justice à la souffrance des victimes, rien n’échappe à notre lucidité.

L’un de nos objectifs majeurs est de comprendre pourquoi et comment on peut en arriver à des catastrophes pareilles.

Nous, contrairement aux gens du système, nous écoutons les enfants, respectons leurs paroles, vérifions leurs dires. Nous pouvons certifier que ces enfants ne mentent pas quand ils se plaignent à nous des maltraitances et des abus qu’ils subissent dans leur famille.

En Justice, les faisceaux de présomptions qui confirment les confidences tragiques de ces enfants pourraient être suffisants et servir de preuves aux magistrats.

Mais il y a cette fameuse affaire d’Outreau qui est passée par là !

Alors, la Justice française balaie d’un revers de main ces cas qui la dérangent : dans les divorces conflictuels avec suspicion de maltraitances et d’abus sur les enfants, les preuves ne sont jamais suffisantes et les indices concordants ne sont jamais pris en compte.

Les pouvoirs publics (magistrats, experts psychiatres, services sociaux, gendarmerie, police, etc.) préfèrent évaluer ces situations graves à travers la grille du politiquement correct issu de l’affaire Outreau, plutôt que de prendre en compte la réalité des faits : il faut savoir que contrairement aux idées reçues à la mode actuellement, les fausses allégations d’abus sexuels ne représentent à peine que 4 à 7% des cas.

Par peur de l’erreur judiciaire qui serait fatale à leur carrière, les magistrats préfèrent fermer les yeux sur tous les dossiers sensibles de maltraitances et d’inceste, principalement quand des notables y sont impliqués : classements sans suite des plaintes, non lieux hâtifs, incohérences dans les procédures, garde des enfants victimes confiée à leur parent bourreau, tandis que leur mère protectrice, déclarée folle et menteuse par des expertises de complaisance, est réduite au silence et privée de ses enfants.

Prenons un exemple tiré de l’un de nos cas réels, raconté dans le livre : un petit garçon de 4 ans qui déclare avoir été violé et chez qui le médecin urgentiste d’un grand hôpital public constate un hématome anal, sera considéré par le système judiciaire français comme un fou affabulateur qui a seulement un peu de constipation chronique ! Et où cet enfant finira-t-il ses jours, jusqu’à sa majorité, et par décision de Justice? Chez son père, son bourreau, à 100% de son temps, avec interdiction de revoir sa mère, sauf parfois de temps en temps, dans un centre social.

Alors que la loi contre l’inceste vient d’être votée en France, il n’y a toujours aucun changement dans le quotidien des enfants martyrs au sein de leur famille, ni dans les décisions de ceux qui sont supposés faire appliquer la loi. Ces drames déjà dénoncés par l’ONU dès 2002, confirment le classement désastreux de la Justice française au 37è rang des pays européens. »


A propos de notre réseau des L WIN « LADIES WORLDWIDE INTERNATIONAL NETWORK »

Nous avons créé ce réseau international de femmes, de manière officieuse il y a presque dix ans, et officiellement sous forme d’association loi 1901, il y a quatre ans. Sandrine Porcher en est la Présidente fondatrice.

Nous avons réussi l'exploit, en unissant nos relationnels communs, de réunir plus de 1000 femmes décideurs et solidaires à travers le monde, autour d’objectifs très louables.

Nous nous fédérons notamment sur les réseaux sociaux VIADEO et FACEBOOK. Nous organisons tous les mois des évènements, des conférences et colloques dans toute la France autour de nombreux thèmes.


Nous sommes des femmes engagées, des ambassadrices dans toutes les régions de France et d’Europe, dont les objectifs sont de :

* défendre les droits de la Femme et de l’Enfant à travers le Monde ;

* rassembler et fédérer des femmes autour de valeurs d’entraide et de solidarité ;

* regrouper des actions individuelles en actions collectives pour mutualiser nos énergies et compétences ;

* organiser des évènements à travers toute la France et l’Europe pour mieux se connaître et se reconnaître ;

* se rapprocher et établir des partenariats avec d’autres réseaux féminins ou mixtes ;

* éditer différents ouvrages sur les thèmes traités dans cette association.



Département PROTECTION de l’ENFANCE au sein des LADIES dont la responsable est Sandrine Porcher

OBJECTIF : répertorier tous les cas de dysfonctionnements en droit de la famille, notamment dans des cas d’inceste et de maltraitances d’enfants. Etre solidaires avec les mamans maltraitées institutionnellement.

* tenter des médiations dans des dossiers de sérieux dysfonctionnements, concernant notamment les gardes d’enfants, auprès des magistrats, des services sociaux, des pouvoirs publics, souvent autistes et peu compréhensifs, dès que le dossier s’avère quelque peu complexe ;

* à défaut, soutenir et assister les familles dans les dépôts de plaintes ;

* éditer des ouvrages sur ces sujets, afin de vulgariser cette cause sur des sujets tabous.


INFORMATIONS PRATIQUES

Non assistance à enfants en danger, plaidons tous coupables !
Un livre de Sandrine Porcher, chef d'entreprise depuis 20 ans et magistrat aux Prudhommes de Lyon.
Editions Ladies L WIN, mars 2010.
375 pages, 15 € (+ 5 € de frais de port).
En vente par correspondance :
ladies.worldwide@laposte.net

 
Le Réseau Colin Bagnard ne peut que s'associer à la lutte contre l'inceste ou la pédophilie et toutes les maltraitances. Nous savons qu'elles concernent enfants, mères, pères; que la soufrance se répand dans les branches familiales, grands-parents, oncles, cousins privés de voir entre eux, et les amis  autour. Mais nous insistons sur le fait suivants: beaucoup trop de cas de dénonciations mensongères nous sont rapportés par nos sympathisants et les personnes que nous rencontrons. Nous avons déjà parlé dans les pages de ce blog de la questions des statistiques. C'est un point qu'il faudra traiter un jour avec objectivité.
  
En tout cas, nous nous sentons moins seuls, avec tous ces mouvements associatifs qui se reconnaissent dans l'initiative du Relais-Poussette, pour combattre les dérives dans les domaines familiaux.
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21 mai 2010 5 21 /05 /mai /2010 06:54

 

  La poussette est un symbole qu'utilise les parents privés d'enfant pour faire entendre leurs voix.

 

Au fil de jours, nous avons connaissance d'autres associations qui soutiennent l'opération relais poussette:

( les propos tenus et rapportés ici par RCB sont ceux des responsables des associations cités, repris de :

 

http://www.vivre-a-chalon.com/lire_Relais_poussette-_-trois-etapes-dans-notre-departement-la-semaine-prochaine,230356954b5fb5ef53ac99fb4961f6844ce0dd43.html )

 

Relais-poussette : trois étapes dans notre département (Bourgogne), la semaine prochaine
20 mai 2010 - DERIOT Daniel

Promouvoir le C.P.E, comprendre Contrat Parental d'Education, telle est l'une des principales revendications de l'opération Relais-Poussette qui fera étape dans notre département dès mercredi prochain.
Cette initiative associative est soutenue par une douzaine d' associations œuvrant dans le domaine de la défense de l'enfance dont le Parti des Enfants du Monde que préside le dijonnais Michel Dudragne, qui est également médiateur familial.


TROIS ETAPES DANS NOTRE DEPARTEMENT


A l'origine de l'opération Relais poussette, Ana Milheiro, une quadragénaire, mère de triplés. Elle ne peut voir ses trois enfants depuis plus de six années déjà.
C'est cette maman qui a rassemblé des mères et pères de familles souvent confrontés à des situations semblables, suites à des séparations. Des séparations difficiles, déchirantes pour biens des parents mais aussi en premier lieu pour les enfants qui sont parfois privés de l'un de leurs parents.

Depuis samedi dernier, partis de Montpellier, ils marchent en direction de PARIS. Ils atteindront la capitale le dimanche 6 juin prochain et se rassembleront place de la Bastille pour interpeller l'opinion et les pouvoirs publics sur les conséquences de décisions de justice "intolérables". Des décisions qui pour certaines sont "injustes" ou du moins difficilement compréhensibles.
Le Relais Poussette arrivera (voir les actualisations dernières pages ) dans notre département

le MARDI 25 Mai à MACON à 16H30 et

 

REPARTIRA LE LENDEMAIN 26 MAI POUR RALIER  Saint Martin de la Patrouille.

De ce village, ils se rendront au Creusot.

 

(à vérifier) C'est le vendredi 28, qu'ils quittteront cette ville pour se rendre à Bléneau,puis Saulieu.


 

LE PARTI DES ENFANTS DU MONDE: SOUTIEN LA DEMARCHE
Fondé en 1999, par Michel Dudragne, le Parti des Enfants du Monde est une association parmi la douzaine qui apportent un soutien actif à cette initiative. Elle a sont siége à Dijon.
"Depuis de nombreuses années déjà, nous défendons et entendons promouvoir la Convention internationale des droits de l'enfant " souligne Michel Dudragne, président de l'association dijonnaise. "Mais nous souhaitons également porter le Contrat Parental d'Education" remarque M. Dudragne. Médiateur familial, ce militant de la cause des enfants relève "parfois la justice et les décisions qui sont prises par elle, est impuissante pour régler certains conflits familiaux".

La poussette est un symbole qu'utilise les parents privés d'enfant pour faire entendre leurs voix.

 

 

    
commentaires (du blog origine: vivre-a-chalons.com)
  • Opération « relais poussette »: http://relais-poussette.gandi-site.net/

    Relayer par RADIO GALERE: 88.4 FM et en direct sur internet
    Depuis avril 2010, cette radio donne déjà la parole aux parents privés d'enfants
    qui seront sous représentés aux assises nationales de la protection de l’enfance de Marseille, 28,29 juin 2010
    http://syndrome-alienation-institutionnelle.over-blog.com/ http://parents-disqualifies-enfants-places.over-blog.com/
    http://lesabusdesservicessociaux.e-monsite.com/blog.html/
    Réécoutez les émissions sur le forum de : http://sos-parents-abuses.forumactif.com/

    Pour préparer les 4 ème assises nationales de la protection de l'enfance

    Radio GALERE, à Marseille,
    MAX, AGATHE, SEVERINE
    donnent la parole surtout aux parents, qui ne seront peu représentés ces 28, 29 juin 2010
    Mais aussi aux juristes, aux travailleurs sociaux !
    I’antenne leurs est ouverte.

    L’accroche de ces 4 ème assises nationales de la protection de l’enfance étant:

    LA SOUFFRANCE DES PARENTS,
    elle existe et elle est de plus en plus lourde à vivre pour ces parents qui n'ont rien fait d'autre que d'être victime de précarité, de mal logement, de vengeance familiale. (C’est 80% des parents confrontés aux services sociaux)
    Ces parents via blog, site, forum se manifestent, se rassemblent, ……….
    Nous parents, nous partons de nos enfants pour aller vers les services sociaux : 1° peine
    Puis, à chaque fois, il nous est renvoyé une double peine, double culpabilité,
    Puisqu’ à chaque fois que ces « dits professionnels de l’enfance » invoquent « l’intérêt supérieur de l’enfant »,
    C’est pour vous supprimer un droit. Alors que vous n’avez rien fait, pire, parce que vous êtes victime !
    Alors qu’eux s’arrogent d’un droit supplémentaire et, illégalement, car ils sont « hors la loi » en regard des :
    - 1: les lois de la République: une approche suspicieuse, culpabilisante par une mauvaise utilisation de la loi du 5 mars 2007,
    - 2: la convention internationale des droits des enfants : sa parole n’est pas entendue. Puis un enfant maltraité ne parle pas !
    - 3: les droits de l'homme,

    LE DESARROI DES PROFESSIONNELS.
    Les « dits professionnels de l’enfance » partent d’eux pour aller vers l’institution qui les emploient et, en dernier, votre enfant:
    L’institution ne reconnaît jamais ces erreurs, alors elle surajoute du pire au pire, de l’inhumain à l’inhumain.
    Ils ont recours au judiciaire comme un appui dans leur travail avec l’article L 226-4 du CASF qui leur donne le droit de statuer lorsque les familles manifestent leurs désapprobations. Ils ont nos enfants qu’ils ont en otage.
    Ils se servent de nos enfants comme un bracelet électronique pour nous neutraliser, nous parents Nous faire taire !
    Capable du pire en toute légalité.
    Alors leur désarroi …………est un peu indécent.

    COMMENT RETISSER LE LIEN?
    D’abord que ces «capables du pire en toute légalité» respectent :
    - 1: les lois de la République: en la loi du 5 mars 2007,
    - 2: la convention internationale des droits des enfants: la France la ratifiée, 20 ans plus tard, à tous les niveaux de notre société, plusieurs articles de cette loi supra nationale que nul n’est censé ignorer, ne sont toujours pas respectés.
    - 3: les droits de l'homme, la dignité du parent pour qu’il ne soit plus traité de déchet humains devant leurs enfants devant les magistrats qu’ils sont sensés protéger et éduquer. Cet enfant doit voir que ses parents sont respectés et respectable, par

    Le plus dur, ce sera pour ces parents, que ces institutions ont mis en mille morceaux.
    refaire confiance aux institutions de la République.
    - Vider de leur dignité de citoyens, de parents respectables,
    - Disqualifier dans votre équilibre mental,
    - Vider financièrement, dépouiller, spolier………..pour que vous n’ayez plus la possibilité financière de les ester.

    Et nos enfants, comment vont-ils refaire un lien avec leurs parents: ils ont entendus les « dits professionnels de l'enfance », même les magistrats sensés les protéger, maltraités leurs parents en leur présence et durant tellement d'années.
    Outreau: K Duchaussoy, A Marescheau n'ont toujours pas refait de liens « normaux » avec leurs enfants.

    Intervenez en direct de toute la France,
    Sur les sujets qui seront débattus à ces assises.
    Les lundi soir à 18 h, par Téléphone au: Accueil: 04 91 08 28 15; Antenne: 04 91 08 28 10.

    Émission qui informe les auditeurs sur ces parents coupables
    - d'avoir eu affaire à l'aide sociale à l'enfance,
    - d'avoir demandé de l'aide à l'aide sociale à l'enfance.

    Et que celle- ci à broyer.
    Puis l'accusation à charge ne s'arrête jamais.

    Pour ces parents, certes, mais leurs enfants!
    Otage de cette machine à broyer! Comment peuvent-ils arriver à se construire?

    Racontez nous votre « vécu de parent » confrontés « aux abus de pouvoirs »
    - des services sociaux,
    - des tribunaux des affaires familiales,
    - des tribunaux des enfants.

    Racontez nous votre « vécu de professionnels de l’enfance »
    par Nom francoise fournier "agathe" le 20 mai 2010
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20 mai 2010 4 20 /05 /mai /2010 12:28

Communiqué de presse : 

 

Dans le but d'une réforme des lois et pratiques dans le domaines des affaires familiales, du divorce et du mariage, une chaîne humaine depuis le 15 mai à Montpellier au 6 juin à Paris-Bastille (sur 800-900 kms!), consistera en une marche relais avec une poussette vide de parents privés d'enfants passant par :

 

Le dimanche 23 mai : 8h Bérardier, puis Vienne vers 9 h, Loire sur Rhône vers 11h, Givors vers 12h, Vernaison après 14h, Pierre Bénite vers 16h, traversée de Lyon par Cours Charlemagne, Place Carnot, Rue Victor Hugo, Rue de la République,

Mairie Centrale de Lyon à partir de 17h30 (Place des Terreaux), Fontaine sur Saône à partir de 20h ;

Le lundi (férié) 24 mai : Fontaine/S 9 h, Neuville sur Saône vers 10h15, Trévoux vers12h30, Saint Bernard 13h30, Jassans Riottier 14h45, Montmerle à partir de 17h30,

Le 25 mai Montmerle à 9h,  Thoissey à 12h, Creches sur Saône vers 14h30; Mairie de Macon à partir de 17h ;

 

Les points clefs sont :

le développement de la médiation familiale,

la définition d’un contrat parental d’éducation,

la prise en compte de l’aliénation parentale,

les suites à donner à la Convention Internationale des Droits de l'Enfant (CIDE),

 

l’information pour le Relais-Poussette

et la fête des parents privés d’enfants à Paris, le 6 juin.

 

 

Il s'agit ici de répercuter une action qui concerne LES ENFANTS et leurs PARENTS en cas de séparation familiale ; à l'initiative de Ana Milheiro de l'Association SOS PRIVE DE MAMAN de Montpellier et relayée par un large collectif d'associations et de personnes concernées par cette problématique sociale:

 

LE COLLECTIF DE LA FETE DES PARENTS PRIVES D’ENFANTS

– contacts national : Ana 06 32 28 73 24 – 09 52 70 98 59 -

(voir les documents joints)

 

Et le site http://relais-poussette.gandi-site.net/

 

A regarder :

http://www.dailymotion.com/video/xd2lol_appel-a-temoin-relais-poussette_news?start=91Et  

 

 

http://www.dailymotion.com/video/xdc4xp_relais-poussette-etape-1-2_news

 

Avec les associations (à ce jour déclarées et connues de nous) :

 

Association pour le LIEN PARENTS-ENFANTS

 (A.L.P.E., 23, Rue des Jardins du Bourg, 38590 BREZINS- Tél. : 04.76.91.30.40)

 

l'ENFANT ET SON DROIT,

(http://enfantetsondroitlyon.free.fr/ 

Tél. : 04.78.52.72.7476, rue Garibaldi, Lyon 69006),

 

STOP VIOLENCE FRANCE
pour la protection des enfants contre la violence éducative et l'aliénation parentale

BP 53, 43120 MONISTROL SUR LOIRE
www.stopviolence.fr),

 

ALLO PAPA ALLO MAMAN,

ASSOCIATION D’AIDE CONTRE LE HARCELEMENT MORAL,

COLLECTIF JUSTICE POUR TOUS,

JUSTICE PAPA PARITE PARENTALE,

LADIES WORLDWIDE,

LE PARTI DES ENFANTS DU MONDE,

SOS INCESTE MALTRAITANCE,

SOS PRIVES DE MAMAN,

... et

le Réseau Colin Bagnard (pour une coparentalité responsable) reseau_colin_bagnard@yahoo.fr

 http://reseau-colin-bagnard.over-blog.org 

avec d'autres infos et vidéos sur l'opération relais-poussette).

 

Cette manifestation autour de la famille correspond bien à nos engagements dans notre diversité pour participer à générer un vrai débat sur ces questions qui touchent profondément notre société et notre République.

 

Au niveau que vous voulez vous pouvez participer !

 

Venez assister aux passages de relais de la poussette devant les mairies de ces villes, lieux représentants un symbole de citoyenneté.

 

Pour le Collectif de la fête des parents privés d'enfants et Ana Milheiro.

http://www.dailymotion.com/video/xdbslf_france-3-montpellier-relais-pousset_news
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